Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- 0826 300 300, c'est votre numéro. Laurent et Taber Chirac, bonjour Laurent.
- Bonjour Jean-Jacques.
- Vous avez entendu le président de la commission des affaires sociales du Sénat, un sénateur LR de Vendée je crois, qui propose 7 heures de travail gratuit pour financer l'autonomie, personnes handicapées, personnes âgées.
- Vous en pensez quoi ? Alors, ce que j'en pense déjà, il est dans le 79, ce fameux député, donc M. Mouillier.
- J'en pense qu'en 2004, on a déjà mis une première journée, en fin de compte, sur ça, donc pour aider nos aînés et puis pour aider toute la partie handicap.
- 20 ans après, rebolote, on demande à ce qu'on mette une journée en place.
- Alors, j'ai relevé des choses, il dit que tous les acteurs actifs vont participer justement au financement de cela.
- Tous les actifs.
- Ouais. On fait quoi, des gens qui ne travaillent pas par rapport à ça ? C'est toujours... On vient taper toujours sur les mêmes, en fin de compte.
- Ça, je suis assez d'accord avec vous, Laurent. Je suis assez d'accord avec vous.
- J'ai rien contre, Jean-Jacques. Je suis comme vous. Il faut qu'on aide nos aînés. Il faut qu'on aide tout ça.
- J'ai rien contre là-dessus. Mais à chaque fois que le gouvernement a un souci financier, on vient taper sur les actifs.
- Alors là, c'est pas le gouvernement. C'est le Sénat qui fait le propos et la proposition.
- C'est le Sénat. Mais à chaque fois qu'on a une difficulté... La difficulté, elle est comme financière à la base aujourd'hui.
- On parle... Il faut 2 millions, 2 millions et quelques... Oui...
- 2 milliards et demi pour les personnes.
- 2 milliards. Excusez-moi. 2 milliards et demi. C'est pas une paille. 2 milliards et demi.
- Non.
- Alors je pense qu'il faut peut-être réfléchir, parce qu'évitons de mettre un peu le feu à l'heure actuelle au niveau des actifs.
- Je pense qu'on est assez plombés par les taxes et par nos impôts, parce qu'on travaille tous les jours pour ça.
- Il faut peut-être réfléchir à quelque chose d'autre avant de s'en aller. Je pense qu'on a des économies à faire.
- Et au sein de tous nos institutions, on a des économies à faire pour aller chercher ça et pour encore éviter de mettre les actifs au dos du terrain par rapport à tout ça.
- Laurent, je poserai la question au ministre de l'Économie et des Finances Antoine Armand. Si vous l'aviez, je vais me faire l'interprète.
- Vous êtes patron. Je vais me faire l'interprète, parce que vous savez qu'ici, je défends les PME et les TPE.
- Plus que jamais. Je vais donc me faire l'interprète de tous les patrons de PME et TPE à travers la question que vous auriez envie de poser au ministre de l'Économie et des Finances.
- Ce serait laquelle ? Eh bien est-ce qu'il connaît vraiment la réalité du terrain, notre ministre ? Est-ce qu'il connaît la réalité de nos...
- Non mais une...
Transcription générée par IA