Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Avant de retrouver notre gagnant ou notre gagnante, notre jeu, je voudrais que nous donnions la parole à Laurent.
- Bonjour Laurent.
- Bonjour Jean-Jacques.
- Bonjour Laurent, vous êtes à Bergerac, mon cher Laurent, en Dordogne, vous êtes chef d'entreprise.
- Et vous dites, j'ai aimé l'interview de Michel Barnier hier, mais pourquoi ? Mais parce qu'hier soir, il a bien rappelé qu'on a deux partis politiques, qui sont la droite, donc l'extrême droite et l'extrême gauche, de les remettre un peu à leur place.
- Alors je m'explique, la notion de censure risque d'être votée aujourd'hui, et 18 millions de Français vont se retrouver avec une imposition plus élite.
- D'autres qui n'en payaient pas vont en payer.
- Donc ça c'est le premier coup dur, entre parenthèses.
- Le second coup dur, on a une agriculture qui est compliquée en ce moment, et on a des agriculteurs qui attendaient justement par rapport à cette fameuse loi de finances, de façon à faire avancer les choses.
- Résultat, on n'avance pas.
- Les personnes à l'heure actuelle ne travaillent pas pour l'intérêt de la France.
- Elles travaillent simplement pour un intérêt personnel.
- Vous l'avez bien dit tout à l'heure, votre invité l'a bien dit, ils travaillent pour un intérêt personnel, ils travaillent pour eux, pour préparer les élections présidentielles.
- Et à un moment donné, il faut peut-être travailler pour l'intérêt de l'ensemble des Français.
- En l'heure actuelle, on est dans une impasse totale.
- Notre pays n'avance pas, notre économie elle stagne, on a des marchés qui sont perturbés, et là il n'y a aucune personne qui réagit par rapport à la situation de la France.
- Nos députés ont été élus au mois de juillet, donc par des Français, qui voulaient un changement, qui voulaient que chaque personne les accompagne.
- Mais nos députés qui sont sur le terrain, ils pensent uniquement, uniquement aux présidentielles anticipées.
- Alors les présidentielles anticipées, je pense que tout le monde essaie de rêver à l'heure actuelle.
- Et dans ce contexte-là, on n'avancera pas.
- Et on va même, avec tout droit, on va dégoûter les Français de la politique.
- Et on va se poser...
- Ça c'est en route.
- Mais Laurent, je suis obligé de vous couper parce que le temps presse.
- Merci d'avoir réagi, dans tous les cas sur l'intérêt de la France.
- Je vous remercie d'avoir été à l'antenne de Sud Radio.
- Vous partagez l'avis de Laurent, ou pas, c'est pas compliqué.
- 0826 300 300.
- Et tiens, je vous mettrai peut-être à l'antenne entre 8h30 et 9h si vous appelez.
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Transcription générée par IA