Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-10h, Frédéric Brindel.
- 0-826-300-300. Avec vous les auditeurs de Sud Radio.
- Nous revenons sur les voeux d'Emmanuel Macron, le Président de la République.
- Claudine est avec nous, des Deux-Sèvres, Niort, les Chamois. Bonjour Claudine.
- Oui, bonjour Frédéric.
- Bonne année à vous.
- Oui, merci, vous aussi, tous mes voeux.
- Vous êtes plutôt lève-tôt, vous êtes couché tard, vous avez réveillonné ? Non, j'ai une journée comme les autres.
- C'est pas mal non plus de ne pas forcément événementialiser.
- Moi j'ai vécu ça, puisque j'ai le plaisir de vous accompagner et avant et après pour le Matin de Sud Radio, et c'est pas mal non plus.
- Bon Claudine, on va parler dans un instant avec vous.
- Nous accueillons un petit peu plus au sud de Niort finalement, puisqu'on va apparaître.
- À Perpignan, Simon, qu'on connaît bien sur l'antenne de Sud Radio.
- Simon, bonne année.
- Merci, bonne année à vous et à tous les auditeurs.
- Bon, ça fait plaisir de vous avoir tous les deux.
- Alors Claudine, ces voeux, déjà assez courts, 10 minutes, 48 secondes même, ça a été chronométré.
- Vous les avez trouvés, quel est le sentiment qui ressort déjà chez vous ? Vous l'avez trouvé comment ce Président ? Alors, très sincèrement, j'ai écouté d'une oreille.
- J'étais au téléphone.
- Bon, il faut dire que ça ne me met jamais dans une joie extraordinaire de l'entendre et de le regarder, franchement.
- Bon, moi, sur une espèce de consultation référendaire ou je ne sais quoi, moi je pense que plus on parle de référendum, moins il le fera.
- À mon avis, il va nous refourguer encore un grand débat avec un manche de chemise et à se saouler lui-même à force de parler.
- Ouais, non.
- C'est intéressant parce que, bon, vous avez peut-être entendu précédemment à l'antenne, j'ai repris les grands moments en vous donnant quelques tendances.
- Et ma conclusion, c'était oui, on parle de cette consultation des Français, mais il ne dit jamais référendum.
- Finalement, s'il avait dit je ferai un référendum, je ne sais pas, sur l'immigration, sur la retraite ou tout ça, au moins ça aurait été clair.
- Mais là, on...
- On a la réaction qu'on comprend de votre part.
- Oui, non, mais il n'est jamais clair de toute façon.
- Et quand il est clair, il ment.
- Donc, si vous voulez, voilà.
- Quand il est clair, qu'il annonce un truc, en général, il ment, il revient dessus ou il n'en parle plus jamais.
- Ou alors, c'est flou.
- Et vous savez bien, comme disait Mme Aubry, quand c'est flou, il y a un loup.
- Il y a un loup.
- Voilà.
- Donc, voilà, on ne peut pas...
- C'est fini, je veux dire, ça, c'est l'histoire du petit berger.
- Le petit berger qui crie au loup, à un moment donné, on ne le croit plus, quoi.
- Donc, voilà.
- Donc, bon, c'est foutu, je veux dire.
- Il reste certainement un léger pourcentage qui continue à écouter, à entendre et à croire sa parole.
- Mais je pense...
Transcription générée par IA