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Par avec Gabrielle Lazure

Les clefs d'une vie - jeudi 17 octobre 2024


La comédienne publie son premier roman, l’histoire d’une femme qui, à 60 ans, décide de retrouver le désir de l’amour grâce aux sites de rencontres.
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio, les clés d'une vie, Jacques Pessis.
- Sud Radio, les clés d'une vie, celle de mon invité, la comédienne que vous êtes, a montré ses talents dans bien des univers.
- Vous entamez aujourd'hui une carrière de romancière en évoquant la recherche d'un plaisir perdu pour votre personnage, mais pas ce plaisir pour celles et ceux qui se plongeront dans ce livre avec plaisir, justement.
- Bonjour Gabrielle Lazure.
- Bonjour Jacques.
- Alors, on se retrouve, vous avez fait tellement de choses, on vous avait reçu dans les clés d'une vie tout au début, mais là j'ai trouvé d'autres angles, d'autres dates pour parler de vous, et puis on parlera de ce livre à la recherche du plaisir perdu, chez Héloïse Dormesson, qui est un livre assez étonnant.
- On garde la surprise pour tout à l'heure.
- Alors, j'en reviens à des dates, c'est le principe des clés d'une vie, et j'en ai trouvé une étonnante, c'est le 26 novembre 1976, c'est le jour où vous êtes devenue fille de ministre.
- Ah oui, c'est vrai.
- Mon père était pédopsychiatre à la base, a dirigé des hôpitaux psychiatriques, et puis aussi il a été ministre des affaires sociales de la santé pour le premier gouvernement.
- René Lévesque, c'est lui qui a créé le Parti québécois pour la souveraineté du Québec.
- C'était Denis Lazure, je crois son nom, et puis il avait essayé de se présenter aux élections, et là il devient ministre.
- Alors on ne sait pas très bien ce que ça veut dire d'ailleurs, être ministre pour les Québécois, est-ce que ça ressemble à la France ou pas du tout ? En fait, le Québec évidemment ce n'était pas un pays, mais bon c'est quand même un peu plus qu'une province, c'est quelque chose qui a une identité propre, et oui, ça reste un ministre, mais on va dire que les hommes politiques là-bas sont un peu plus cools peut-être qu'ici.
- Au moins ici on a été ministre ou président, c'est vraiment littéralement à vie, on a l'impression, et là-bas c'est quand même un peu plus relax quoi.
- Et la souveraineté du Québec, c'était un événement à l'époque ? Oui, on parlait au début d'indépendance, tout ça après ils ont dit souveraineté, mais c'est vrai que même si ça n'est pas produit, il y a eu deux référendums qui ont été très proches, mais qui finalement ne sont pas passés, mais ça a quand même fait prendre conscience, je pense, aux Québécois de leur identité nationale et tout, et moi je trouve que c'était une bonne chose.
- Oui, et puis c'est encore le débat aujourd'hui, où on essaye de préserver la langue française.
- Exactement, en France on en a encore plus conscience, parce qu'il y a de plus en plus de choses en anglais, même pour les comédiens et tout, même si je suis moitié aussi américaine, mais je défends la langue française quand même.
- Et votre père aussi a été champion de hockey, je crois ? Champion, je ne sais...

Transcription générée par IA

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