Par André Bercoff
"Les LGBT... on ne veut pas de votre soutien pour la Palestine", balance un Youtubeur.
Au programme : "Les LGBT... on ne veut pas de votre soutien pour la Palestine", balance un Youtubeur. / Les filles du collectif Némésis agressées lors d'une manifestation contre le RN.
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Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 3 premières minutes de votre émission :
"Et les bons petits hypocrites, bons petits politicards, bons petits magouilleurs, bons petits idéologues de sous-préfecture, qu'est-ce qu'ils veulent ?"
André Bercoff : Alors, qui veut cet internaute, qui veut-il, à qui dit-il, casse-toi, tu pues, et marche à l'ombre ?
"Je crois qu'il y en a qui n'ont pas très bien compris là. Je vais le rerépéter. Les LGBT, les LGBTX, les YZ, tout ça là, tout ça là, tout ce qui change de truc là, qui veut changer de la nature. On ne veut pas de votre soutien pour la Palestine. On n'en veut pas. Là vous commencez trop à rentrer dans les réseaux en train de faire ouais, vous voulez faire des quêtes, vous voulez faire de l'aide. On ne veut pas de votre aide. Je vais vous le dire comment, en chinois ou quoi ? On ne veut pas de votre aide à vous les LGBT. C'est des marrants, vous quoi, vous nous infiltrez comme ça. Et j'ai fait une première vidéo, il y en a qui ont osé dire, ouais mais non, tout le monde a le droit de manifester. Non, eux ils ne manifestent pas avec nous. Vous ne comprenez pas ou quoi ? C'est comme ça qu'ils infiltrent les gens. Ils viennent, ils suivent la cause palestinienne et tout. Après quand on va voir la cause des PDA eux, il faudra aller les soutenir aussi. On n'en veut pas. Leur soutien, ils n'ont qu'à aller soutenir leurs zizis eux-mêmes là. Ils sont malades, c'est des malades mentaux. Vous ne comprenez pas ou quoi ? C'est un monde de trans, là. Ils veulent faire de la transition partout. A l'école, dans les rues et mettons même dans les causes. Pour pouvoir nous matrixer comme ça, on dit quoi ? Ah non, ouais c'est vrai, ils sont venus nous aider. On ne veut pas de votre aide, on ne veut pas de votre soutien. Nous on va se démerder tous seuls, nous. Nous on est des soutiens nous-mêmes, ça va aller. On ne veut pas du soutien des LGBT, des toutes les couleurs là, tout ça. Non, non, non, vous n'allez pas nous infiltrer, nous. Nous, vous ne nous infiltrerez pas, je vois. Sur TikTok, il y en a certains qui commencent à faire des vidéos. Ouais, il faut soutenir. Non, on ne veut pas de votre aide à vous. Vous, on ne veut pas de votre soutien. Nous, vous ne viendrez pas nous soutenir. Parce que nous, on est contre ce que vous faites là. Le transhumanisme, le transhumain, tout ça, on ne veut pas. Donc arrêtez de venir faire des courses palestiniennes, on ne sera pas avec vous. Et tous ceux qui veulent les défendre là, qui s'entendent dire ouais, mais tout le monde va manifester. Eh, allez manifester avec eux là-bas, allez, allez. Allez tourner vos zizis là-bas, avec des drag queens et puis des drapeaux et je ne sais quoi, de toutes les couleurs. On n'en veut pas, c'est comme ça que ça rentre. Vous ne comprenez pas ou quoi ? Ils veulent nous infiltrer, ils veulent nous infiltrer. C'est comme ça que nous nous infiltrons, en disant quoi ? On vous soutient. On ne veut pas de votre soutien. Allez soutenir vos zizis là-bas."
André Bercoff : Voilà, qui est l'infiltré de l'autre ? Qui est le soutien de l'autre ? Eh bien, écoutez, la majorité des gens se disent, oh là là, ne parlez pas de ça. Non, non, il ne faut pas diviser, Il ne faut pas diviser. Et alors qu'est-ce qu'on fait ? On met la poussière sous le tapis, on se passe la patate chaude, mais surtout, vous savez, pas de vagues, pas de vagues, non, non, non, nous sommes dans la même mouvance. Or ils savent très bien ces petits hypocrites. Au moins lui, il est franc, il dit ce qu'il pense, il pense ce qu'il dit. Et les autres, bons petits hypocrites, bons petits politicards, bons petits magouilleurs, bons petits idéologues de sous-préfecture, qu'est-ce qu'ils veulent ? Attendez, on verra, oui, il y a peut-être des problèmes entre les trans et certaines communautés, mais non, non, non, on n'en parle pas, ce n'est pas le moment. On est tous, on est tous dans le même bateau, résistants. Eh ben voilà, ça ne se passe pas comme ça, vous savez. Les gens ont leurs opinions, encore une fois, on peut être pour, on peut être contre, le problème n'est pas là. Mais le problème, ce n'est pas effectivement en vous masquant, en vous bouchant le nez et les oreilles et les yeux, que vous arriverez à comprendre quelque chose. Et le jour où le réel, je le répète, je le redis, je le radote, le jour où le réel enfonce la porte, eh ben c'est vous qui allez sentir le grand vent. (...)
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