Retranscription des premières minutes du podcast :
- Hé ! J'ai plus de...
- C'est très intéressant quand on voit les contradictions. Et qu'est-ce que ça veut dire, les contradictions ? Eh bien je vais vous dire. Il y avait le nouveau Front populaire, une déclaration de Marine Tondelier et une traduction de Jean-Luc Mélenchon.
- Sur quoi ? Sur la liberté d'expression. Et vous allez voir, c'est très intéressant. A tout de suite.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
- Ma liberté, c'est toi qui m'as aidé à larguer les âmes. Pour aller n'importe où, pour aller jusqu'au bout des chemins de fortune.
- Ma liberté, Georges Moustaki, ma liberté. Et vous le savez ici, vous le savez.
- Il se donne toujours.
- Dans cette émission, vous le savez, sur Sud Radio, à quel point c'est important la liberté d'expression.
- C'est fondamental. Sans liberté d'expression, il n'y a pas de démocratie.
- Les gens qui se gargarisent du mot. Eh bien on entend des choses assez formidables en ce moment.
- Par exemple, sur Twitter, sur X. Oui, on n'entendait pas grand-chose.
- Mais depuis qu'Elon Musk a pris Twitter et l'a transformé en X, et a ouvert toutes les boîtes de Pandore, eh bien il y a des...
- Des étranges, d'étranges déclarations que l'on entend notamment, notamment chez certains de nos hommes et femmes politiques.
- Eh bien ça ne leur plaît pas, ça. Ça ne leur plaît pas du tout.
- Hier, sur la chaîne parlementaire, Marine Tondelier, secrétaire nationale d'Europe, écologie, les Verts, parlait, était interrogée justement sur la désinformation, sur ce pelé, ce galeux d'où nous vient tout le mal, Twitter, X. Écoutez.
- Marine Tondelier, est-ce que vous pourriez quitter le réseau social Twitter, le réseau d'Elon Musk ? Il y a une hémorragie en ce moment de journaux, d'un certain nombre de responsables politiques.
- Je dois dire que ce réseau social est une souffrance en tant que politique, en tant que femme, parce que c'est très violent tout le temps, que j'ai l'impression que c'est devenu un catalyseur de haine, et que toute personne qui a envie de faire ou de dire un truc désagréable se dit « Tiens, je vais aller sur Twitter, c'est open bar », et ça permet d'abîmer un peu, de casser les gens.
- Le souci, c'est qu'aujourd'hui, tout le système politico-médiatique est organisé autour de Twitter.
- Si aujourd'hui je veux faire... Non mais regardez les articles dans vos différents médias, je ne juge pas...
- Donc pour l'instant, vous ne coupez pas Twitter.
- Si on veut réagir à quelque chose, vous dites « Marine Tondelier a dit ça sur X, ça fait ça sur X, si on envoie des communiqués de presse à la tienne, ça ne marchera pas ».
- Donc vous ne coupez pas X.
- Moi, je suis sur Mastodon, je suis sur Blue Sky, je suis sur Instagram, où les commentaires sont beaucoup plus forts.
- Mais aussi sur X.
- Et aujourd'hui, je n'ai pas le choix que d'être sur X pour faire mon travail.
- C'est ceux qui y restent...
Transcription générée par IA