Retranscription des premières minutes du podcast :
- Calos, créateur de vêtements, bijoux et accessoires français.
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- Calos présente...
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Dans tous mes états, vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis d'une angoisse totale.
- Mais ce gouvernement, qui va le former ? Comment on va le former ? Des noms, des noms s'amoncèlent, effectivement.
- Ils sont là, ils se bousculent au portier, ils sont venus, ils sont tous là.
- Quand ils ont entendu ce bruit, il va partir le barnier.
- Et ils arrivent en trombe.
- Mais écoutez, je ne comprends pas.
- Mais il y a quelqu'un, je ne comprends pas Emmanuel Macron là.
- Vraiment là, il me déçoit.
- Il me déçoit, il y a quelqu'un qui devrait appeler.
- Elle est là, elle est là, elle attend, elle attend, elle attend.
- Vous savez quoi ? Vous allez entendre, vous allez entendre.
- C'était il y a quelques mois.
- Elle en avait parlé déjà à la radio, à la télévision.
- Pas chez nous, dans une chaîne concurrente.
- Écoutez-la.
- Qu'est-ce que c'est que l'urgence aujourd'hui ? Il y a une situation économique quand même très inquiétante.
- Il y a des mouvements sociaux qui se profilent.
- Il y a un déclassement des Français, voire une dégringolade de leur situation sociale.
- Et il n'y a aucune visibilité sur le projet commun qui nous fait tenir ensemble.
- Au niveau de la nation française.
- Et les gens se demandent, les Français se demandent, est-ce que le modèle français est encore notre référence ? Et qu'est-ce qu'on fait pour le sauver, le sauvegarder et l'améliorer ? Et de ce point de vue, la question de la solidité du président de la République, une fois de plus, dépend de lui.
- Parce que pourquoi ? Parce qu'on entend dire maintenant qu'il va reprendre un Premier ministre issu d'un parti qui a perdu les élections, voire un de ses très proches.
- Mais c'est extravagant.
- Ça veut dire qu'il y aura à nouveau une motion de censure.
- Oui.
- Le score qui vient d'être révélé prouve que s'il y a une deuxième fois la même erreur qui est faite pour prendre un Premier ministre qui est issu d'un parti qui a perdu les élections, il y aura une deuxième motion de censure.
- Et à ce moment-là, une deuxième motion de censure, non seulement c'est grave pour la situation économique et sociale du pays, mais ça fragilise, c'est ça qui fragilisera le président de la République.
- Et c'est la raison pour laquelle il faut à la fois choisir un Premier ministre de gauche, et en même temps qu'il soit capable de faire, un gouvernement élargi, un gouvernement qui reflète le Front républicain.
- C'est ça l'enjeu aujourd'hui.
- Voilà, voilà, c'est frappé au coin du bon sens.
- C'était avant la motion de censure d'hier, c'était avant les résultats d'hier.
- Et qui est cette personne qui parle vrai,...
Transcription générée par IA
