Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov dans tous ses états.
- Selon que vous serez puissant ou misérable, etc., etc.
- Selon que vous serez puissant ou misérable, et c'est même pas ça, selon que vous soyez dans le bon camp ou dans le mauvais camp, selon que vous soyez effectivement dans le bon sens, vous savez, dans le sens du vent, du vent du politiquement correct, du vent, effectivement, de la doxa.
- Et on oublie de dire, et il faut le dire, et vous le savez, que quiconque ne pense qu'à se mettre dans le vent a une idéologie de feuille morte.
- Et c'est bien ça le problème aujourd'hui.
- Alors, voilà, donc quatre ans après, effectivement, des années d'enquête, sept semaines d'audience, des heures de débat, et bien le réquisitoire, dans le procès, de l'assassinat de Samuel Paty, et bien qu'est-ce qu'on a demandé, qu'est-ce qui s'est passé ? Et bien on a demandé, on a demandé quoi ? Et bien on a demandé qu'effectivement, que par exemple, les amis du terroriste, Nadim Boudaoud et Azim Ebserkhanov, comme ils ont opté pour, en tout cas, le parquet pour l'association de malfaiteurs terroristes criminels, c'est trente ans couru, complicité d'assassinat terroriste, qui est qualifié de réclusion criminelle à perpétuité.
- Voilà, donc, effectivement, on a atténué les choses.
- On a dit, voilà, donc, quels ont été les réquisitions ? Et bien, seize ans pour Azim Ebserkhanov et quatorze pour Nadim Boudaoud.
- Le tout a sorti une période de sûreté des deux tiers.
- Les deux accusés, ce qui est l'évidence, auraient bien apporté une aide logistique à Anzor, mais l'accusation a balayé l'idée qu'ils aient été complices de l'assassinat.
- Donc, ils ont apporté une aide, mais ils ne sont pas conflices, voilà.
- Et puis, vous savez, il y a eu tous les gens qui, dans les réseaux sociaux, ont absolument tapé sur le fait que Samuel Paty était quelqu'un qu'il fallait absolument punir, qu'il était un islamophobe terrible, etc., etc., et qui ont désigné, il faut le dire, de facto, Samuel Paty à son assassin.
- Ce qu'on a appelé la fatwa numérique, la fatwa dans les réseaux sociaux, dont douze ans pour Abdelhakim Seyfrioui et dix ans pour le père Brahim Chnina, avec, encore une fois, vous savez, c'est sa fille qui a dénoncé, effectivement, Samuel Paty et ce qu'il avait fait dans le cours, mais on rappelle que sa fille n'avait pas assisté à ce cours-là, il faut le rappeler.
- Voilà, donc, effectivement, il y a eu pour eux quatre ans de détention, provisoires, donc, voilà, et puis, il y a le reste, 18 mois avec sursis, comme contre Priscille à manger, en contact avec, manger elle avec contact avec le terroriste, etc.
- Et c'est qu'il y a, quand même, quelque chose de très dérangeant dans cette histoire, parce qu'on sent qu'au fond, un certain nombre de les accusés, ils se disent, voilà, l'éducation nationale, la police, etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc.,...
Transcription générée par IA