Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
- Et oui, c'est la chanson éponyme de Jacques Dutronc, c'est l'hymne à l'amour, et c'est pas Edith Piaf, c'est l'hymne à l'amour moelleux, c'est Dutronc.
- Alors pourquoi ? Eh bien écoutez, voilà en ce moment, effectivement, il y a des réactions très très fortes, très diverses et variées.
- Par exemple, sur LCI, un journaliste, Gallagher Fenwick, eh bien voici ce qu'il dit sur le président des Etats-Unis.
- Séquence totalement gratuite. Moi, j'en sais rien où est-ce qu'il est, son avion, là. Ils ont mis un petit panneau « Gulf of America », et il se dit « ça va cartonner ».
- Vous êtes ici. Il y a une formule qui me vient à l'esprit. En fait, Trump, c'est un bouffon. Et le principe des bouffons, c'est qu'il faut toujours les prendre au sérieux, et particulièrement quand ils sont aux commandes de la première puissance militaire au monde.
- France. Voilà. Ça, c'est Gallagher Fenwick. Je voudrais simplement dire une chose, c'est que bouffon...
- C'est pas spécialement ça. Ou les bouffons restent bouffons, ou les bouffons, que ce soit d'ailleurs ce qu'on pense de Hitler à autre, c'est pas un bouffon.
- C'est peut-être un monstre, mais sûrement pas un bouffon. Les bouffons, vous savez, ils restent bouffons.
- Mais justement, il faut quand même savoir ce que les mots veulent dire. Après, on peut dire ce qu'on veut, mais un bouffon, c'est pas comme ça que ça se passe.
- Et c'est pas comme ça qu'on gère un pays. Et on le voit très très bien en ce moment. Mais bon... Et alors après aussi, il n'y a pas que Gallagher Fenwick.
- Il y a Najat Vallaud-Belkacem. Alors elle aussi, elle a réagi effectivement. Et là, elle aussi, elle n'y va pas de ma mort. Écoutez.
- Qu'un effort de conciliation avec ce qu'est Donald Trump aujourd'hui. Je trouve que c'est catastrophique. Ce type est un prédateur, un mafieux, un caïd...
- Un dangereux, surtout.
- Et à quelqu'un qui se comporte horriblement mal. Et en fait, on ne l'excuse pas. Je dis pas que vous êtes en train de l'excuser à temps derrière.
- Je dis simplement qu'on est presque un peu trop gentil avec lui.
- Presque un peu trop gentil avec lui, Najat Vallaud-Belkacem. Oui. Alors écoutez. Non seulement elle a le droit, mais elle a la légitimité pour dire ce qu'elle veut, de qui elle veut. Le problème, c'est que Najat Vallaud-Belkacem est directrice de l'ONG One, qui est basée aux États-Unis, qui lutte contre la pauvreté et les maladies en Afrique. Et c'est très bien. Et elle est aussi, Najat Vallaud-Belkacem, présidente de France Terre d'Asile.
- Et je rappelle que la France a donné 1,1 milliard d'impôts. Nous payons 1,1 milliard d'euros, pardon, pour les associations d'aide aux migrants.
- C'est des chiffres de la Cour des comptes. Et ce que nous avons dépensé, c'est plus 52% en 4 ans. Plus 52% en 4 ans.
- Donc aujourd'hui, c'est 1,1 milliard d'euros pour...
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