Retranscription des premières minutes du podcast :
- Écoutez, Sud Radio Bercov dans tous ses états, les perles du jour.
- On est parti pour la bataille, avec nos gueules d'épouvantail, tous entassés comme du bétail, dans des camions couleur grisaille, dans des camions couleur grisaille...
- Oui, Michel Sardou, alors je ne sais pas si on est parti pour la bataille et si on va s'entacher comme du bétail.
- En attendant, effectivement, il y a déjà quand même un an, un an, je rappelle qu'effectivement l'invasion de l'Ukraine par la Russie date, ça fera trois ans, le 22 février, trois ans très exactement.
- Voilà ce que disait le président de la République Emmanuel Macron quand même il y a un peu moins d'un an. Écoutez.
- Si on laisse faire en Ukraine, c'est la loi du plus fort.
- On ne peut pas être en sécurité.
- C'est pour ça que j'ai dit, on doit aider plus, ce qu'on va faire dans les semaines à venir, livrer plus de matériel aux Ukrainiens.
- Mais on doit dire aussi, à un moment, à un moment donné, si les Russes vont trop loin, nous tous Européens, on doit être prêts à agir pour les en dissuader.
- C'est encore plus proche de chez nous, là.
- Donc il faut être prêt à le faire.
- Donc non, j'espère de toutes mes forces qu'on n'aura pas à partir en guerre.
- Non, la France n'est pas une puissance de guerre, mais une puissance de paix.
- Mais oui, si on veut avoir la paix, il faut la protéger.
- C'est pour ça qu'il faut s'armer.
- C'est pour ça qu'il faut être dissuasif et crédible vis-à-vis parfois de nos adversaires en leur disant, si vous allez trop loin et que vous menacez mes intérêts, ma propre sécurité, alors je n'exclus pas d'intervenir.
- Voilà. Voilà ce que disait Emmanuel Macron.
- C'est civis pacem parabellum.
- Si tu veux la paix, prépare la guerre.
- Bon. Eh bien, est-ce qu'on en est là ? Alors, est-ce qu'effectivement, on estime que la Russie est allée trop loin et qu'il faut se préparer ? Ce que disait d'ailleurs Keir Starmer, le Premier ministre anglais, prêt à envoyer des troupes, en tout cas des troupes, pour garantir l'éventuelle traité de paix.
- Ça s'agit dans les chancelleries.
- En même temps, quand même, on en a parlé aussi, ça va se passer différemment entre Trump et Poutine.
- Toujours est-il qu'il y a des appels à la guerre.
- Et notamment, par exemple, une consultante à la Poédie sur LCI demande ceci et se demande qu'est-ce qu'on attend, non pas pour être heureux, mais pour attaquer. Écoutez.
- Reconquérir la Crimée, le non-masque, ce n'est pas dans 20 ans.
- Non, non, non, non.
- Pour l'instant, il n'est pas question de rentrer en guerre contre la Russie.
- On peut aider l'Ukraine à comprendre.
- On est dans...
- Mais non, mais peut-être.
- Mais pourquoi pas ? Mais la question ne se pose pas pour l'instant.
- Mais si l'Europe est en danger, pourquoi ne pas détruire l'ennemi qui menace le monde entier ? Aujourd'hui, il y a...
Transcription générée par IA