Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
- Voilà les gars de la marine, quand on est dans l'école bleue, on n'a jamais pas nos yeux.
- Et oui, c'est nous les gars de la... euh oui, non non, là c'était la marine.
- Alors la marine, écoutez, on sait très bien que notamment certaines drogues dont la cocaïne circule un peu partout, ou en tout cas dans le monde des jeunes, du showbiz.
- Et il paraît, et il paraît que ça circule aussi chez les députés, des ministres, et où, et pas seulement en France.
- Vous savez qu'à la Maison Blanche, on a trouvé quand même quelques très bonnes traces de lignes de poudre blanche.
- Alors on ne sait pas ce que c'était, on pense que c'était la ligne juste du parti, notamment du fils Biden, pour ne pas le nommer.
- Et puis là, vous voyez, à la télévision aussi, puisqu'un animateur de France 2, Christophe Dechavanne, pour ne pas le nommer, va comparaître jeudi prochain devant le tribunal correctionnel de Moulins pour, je cite, « conduite en récidive en ayant fait usage de substances classées comme stupéfiants ».
- Alors selon les informations du quotidien Montagne, cette comparution fait suite à un contrôle routier à Toulon-sur-Allier le 17 août 2024, après un excès de vitesse à 120 km au lieu des 80 km.
- Autorisé sur cette route.
- Donc, lors de ce contrôle, le producteur et animateur a été également soumis à un test de stupéfiants qui s'est avéré d'être positif à la cocaïne.
- Effectivement, Christophe Dechavanne balayait ces rumeurs, niait tout à fait ça.
- Il disait, vous savez, je savais très bien quel réputation j'avais dans Paris, etc.
- Mais c'est faux, tout ça.
- Et alors, en même temps, c'est intéressant.
- Parce que, vous allez me dire, c'est dur.
- On ressort de la vie privée.
- Pas vraiment, pas vraiment.
- La consommation de drogue, pas vraiment.
- Moi, je n'ai pas de jugement de valeur, de jugement de morale là-dessus.
- Ce qui m'embête, quel que soit Christophe Dechavanne, comme tous les autres, ne faites pas la leçon aux autres, ne faites pas la leçon morale, politique, c'est pas la peine.
- Vivez votre vie, faites ce que vous avez à faire, et c'est pas la peine.
- Et puis, alors, simplement, effectivement, on peut se poser la question, quand la journaliste Élise Lucet s'est invitée dans la salle des quatre colonnes de l'Assemblée nationale, vous savez, mardi, mardi 11 février, proposer aux députés de faire un test salivaire de détection de stupéfiants.
- Alors, certains ont accepté, d'autres non.
- Et puis, vous voyez, à ce moment-là, Élise Lucet, il faut faire la tournée, la tournée des Grands Ducs, un peu partout.
- Alors, je sais ici, je peux l'affirmer, que ni Maud Coffler, ni Julien Delmas, ni Manu Asso, non, non, non, je vous assure, ils n'arrivent pas en se frottant le nez, comme un certain nombre de gens.
- Non, non, non.
- Ils sont absolument...
- Et moi-même, je vais vous dire, j'ai pu...
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