Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
- J'ai pas envie de la voir, mais il m'est ma bille et non plus, je suis une bille ou un héros.
- Eh oui, eh oui, il faut savoir ce qu'on fait maintenant, il faut savoir ce qu'on fait.
- Alors vous me dites de quoi on parle, de quoi on parle, mais c'est très simple.
- Évidemment, comme tous les parents, vous jouez avec votre gosse, votre fille, vous jouez avec votre garçon, et voilà, il y a des jeux, attention, mais pas n'importe quel jeu, il faut faire attention, il ne faut pas conditionner l'enfant s'il veut faire un jour sa petite transition de genre.
- Est-ce que c'est un problème, se demande Clara Georges dans sa rubrique d'Aron d'Aron, si les parents n'investissent pas les activités ludiques, comme disent les spécialistes.
- Alors non, pas forcément, et tant mieux, car l'adulte qui intervient dans le jeu de son enfant le pousse sans le vouloir à reproduire des schémas genrés.
- Voilà.
- C'est ce que dit cette étude relayée par Le Monde, parce que les papas, notamment, jouent plus volontiers au foot qu'à la poupée.
- Conséquence, les garçons qui bénéficient de tant de jeux avec leurs parents vont plus souvent que les autres aller vers des jeudis de garçons.
- En revanche, cet article rappelle l'importance de l'imitation chez les enfants.
- Si je vois papa cuisiner, ça me donne envie de jouer à la dînette.
- Voilà, zéro culpabilisation, on a le droit d'abandonner le croque-carotte pour préparer un gâteau, et tout le monde passera un excellent dimanche.
- Et voilà, c'était sur France Inter, effectivement.
- Voilà, il faut lutter contre les stéréotypes du genre.
- Donc, l'étude demande aux papas, donc, pas jouer avec leur fils des jeux de garçons.
- Eh oui, il ne faut pas les conditionner.
- Et puis, sans doute, avec des filles, pas jouer à la poupée.
- Non, non, non, non.
- Le garçon peut jouer à la poupée, les filles peuvent jouer à la guerre.
- Et allez, amusons-nous.
- Allez, petite transition.
- Allez, touillons, touillons.
- Voilà, ça s'appelle l'éducation, nouvelle mode et nouvelle conquête.
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Transcription générée par IA