Le discours de Bruno Le Maire qui provoque un fou rire au Sénat.
Au programme :
Le discours de Bruno Le Maire qui provoque un fou rire au Sénat. / Les personnes sous OQTF qui ont tué l'agricultrice ont été libérées. / Sur l'autoroute, les agriculteurs transforment la piste en champ de semences pour faire une prairie.
Du lundi au jeudi, André Bercoff parle vrai ! Perles, huées, bravo... retrouvez les coups de gueule d'André sur Sud Radio et en podcast.
Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :
"La France s'honore effectivement d'avoir un premier ministre à l'homosexualité assumé."
André Bercoff : Young Forever Young, oui, oui, c'est bien, c'est vrai, vous rappelez Faust, la jeunesse, un pacte avec le diable pour la vie éternelle, c'est une merveilleuse légende, c'est une merveilleuse, voilà, je sais pas si, si effectivement on vivra jusqu'à 150 ans, peu importe, mais de temps en temps, il y a des petits plaisirs qui ne se refusent pas. Vous savez que Gabriel Attal a fait sa déclaration de politique générale hier, à l'Assemblée nationale, et il a fini en disant que la France s'honore effectivement d'avoir un premier ministre à l'homosexualité assumé. Voilà, ça prouve l'ouverture du pays où il a raison, mais c'est très très bien, mais il n'y a aucun problème, je crois que d'autres premiers ministres, que je ne veux pas citer, puisqu'elle n'avait pas peut-être parlé, en fait d'autres premiers ministres et les plus récents étaient aussi homosexuels, je parle homme ou femme, et il n'avait pas jugé bon d'inclure dans sa déclaration de politique générale le fait de ses préférences sexuelles, parce que je vais vous dire, les préférences sexuelles entre adultes consentants, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais surtout, franchement, faites votre job, faites ce qu'on attend de vous, c'est de faire votre métier. Mais en attendant, pendant que Gabriel Attal lisait effectivement sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, comme le veut la coutume, un ministre va lire au Sénat le même discours, puisque Gabriel Attal est un talent extraordinaire, mais n'a pas encore le don d'ubiquité, ce qui ne serait tardé, donc il fallait que quelqu'un lise au Sénat le discours de politique générale du premier ministre, et donc c'était à Bruno Le Maire. (...)