Retranscription des premières minutes du podcast :
- C'est maintenant qu'il faut le faire, c'est pas demain, c'était pas hier, c'est maintenant ! En face c'est Paris-Rhône, c'est pas Maïda Dolide, c'est le Paris Saint-Germain.
- Il a dit Laurent Bois était souvent la faune ou pas ? C'est une fiotte ! C'est une hôte ! Voilà ! Mais c'est sur Subradio, grand couillard ! Évidemment ! Les vraies voix du foot, 20h21, Philippe David.
- Les vraies voix du foot avec une spéciale Ligue des champions ce soir, et notre quatuor du milieu de terrain, Guy Carlier, en numéro 10.
- Oui, on est un peu l'Espagne 82, l'équipe de France en Espagne avec 4 numéros 10.
- 3 numéros 10, oui.
- Oui, il y en avait même 4.
- Oui, Jean Gigny et Giresse.
- Même pas 30 secondes d'émission, déjà un rapport à France 82.
- Et pour une fois, c'est pas moi.
- Il est revenu, lui c'est plutôt notre gentil Ghana, le porteur de la France 82.
- Le porteur d'eau en 82, et il a joué à Bordeaux en plus.
- J'ai été élu droit ! Non, plutôt, c'est le chien de Mickey.
- Merci, référence l'élu.
- Elle est très bonne, celle-là, Alain Giresse.
- Merci, également connu sous le nom d'Emmanuel Galasso, mais j'accepte la promotion.
- Un très bon gaucher, on va dire ça comme ça, comme Bernard Jean-Gigny, qu'on salue, qui est extrêmement sympathique d'ailleurs, avec Quentin Faudron, ça va Quentin ? Très bien, merci.
- Et tout de suite, on va retrouver, juste après la chronique de Guy, le but football club.
- Alors, Guy, ta chronique, c'est la comparaison du parcours de Brest et de Nice.
- Alors, Brest PSG, ça va être notre fil rouge.
- Pour le moment, 2-0 pour le Paris Saint-Germain.
- Deux buts marqués en première période, un pénalty de Vitigna, et un très beau but d'Ousmane Dembélé.
- On va d'ailleurs revenir sur Ousmane Dembélé dans quelques instants.
- Tout de suite, Guy, ta chronique, pour comparer les parcours de Brest et de Nice en Coupe d'Europe.
- On va dire que pour un, c'est un parcours du tonnerre, et que pour l'autre, c'est un naufrage.
- Voilà, donc ça m'a bien plombé le début de la chronique.
- Putain, elle est belle, l'histoire de Brest.
- Oui, j'ai dit, putain, ça va, je ne joue pas les vierges effarouchées pour ce putain qui ne joue le rôle que d'un fuck new-yorkais et qui est là pour marquer mon admiration pour cette équipe brestoise.
- C'est bizarre, parce qu'il y a ce match, là, je suis Parisien de cœur, et pourtant, ça me fait mal aussi au cœur de voir cette équipe de Brest perdre, en l'occurrence, au stade où on en est, c'est-à-dire à la cinquantième minute.
- En début de saison, on promettait aux Bretons le destin habituel des clubs qui, après un parcours exceptionnel en championnat, perdent leurs meilleurs éléments pendant le Mercato et rament l'année suivante en championnat et en Coupe d'Europe, et comme prévu, Brest a perdu Mounier, Le Doiron, Honora et quelques autres de moindre importance.
- Pourtant, la belle...
Transcription générée par IA