Retranscription des premières minutes :
- Bonne balle de Platini pour Baptiste Sors ! A côté ! Aïe aïe aïe, t'es pas vrai ! Aucune chance ! Mais aucune chance les gars ! On est en train de s'agrider de toutes vos chances ! Le football il a changé.
- Tu viens pas dans ma zone ? Présente ta zone.
- Ici c'est ma zone.
- Trappe le ciribou sérieusement.
- Trappe ! Le ciribou il est gay.
- Vous avez peur de quoi ? Vous avez peur de qui ? Ouvre les yeux, ouvre les oreilles.
- C'est juste beau.
- C'est juste votre vie.
- Mais c'est sur Subradio, grand couillon.
- Évidemment ! Les vraies voix du foot.
- 20h21, Philippe David.
- Très heureux de vous retrouver jusqu'à 21h dans ces vraies voix du foot avec ce quatuor qu'on adore avoir avec nous.
- C'est un peu la défense de la France 98 Euro 2000.
- Oui, un peu les Beatles aussi, comme vous voulez.
- Vous êtes plutôt qui ? T'es plutôt qui ? John, Ringo, Paul ? Non, non, pas Ringo, mais John et Paul.
- Comme je suis Beatles et Stones.
- Comme je suis Paris et OM.
- C'est bien.
- On l'appelle l'homme du compromis.
- C'est la grande nouvelle.
- Guy Carlier est binaire.
- Comme disait Coluche, compromis, chose dupe.
- Exactement.
- Vous l'avez reconnu, c'est Guy Carlier.
- Il est là aussi, vous avez entendu sa voix.
- Salut Emmanuel Galasso.
- Salut Philippe, bonsoir à tous.
- On l'a bien évidemment avec un superbe sweatshirt des Girondins de Bordeaux.
- Vous faites la victoire de Bordeaux, il dit.
- Oui, ça se fait quand même.
- La victoire contre le Saint-Privé-Saint-Hilaire de Buzyn, un doublé d'Anti-Carole.
- Et moi, dans les Beatles, je pense que je serai de Sailly.
- Fort, très fort.
- Les Beatles de Sailly, je n'ai pas compris.
- C'est de l'absurde les amis.
- Ah, c'est de l'absurde, d'accord.
- Non, mais ce n'est pas grave, j'ai tenté.
- Vous n'étiez pas attentif.
- Je suis ton avocat, Max, je suis là.
- Effectivement, et Quentin Fredon qui, comme il était bordelaise, ravit Sarasso qui était arrière-gauche et qui a joué aux Girondins.
- Franchement, ça me va très bien.
- C'est pas mal, c'est pas mal.
- Lisa, c'est bien.
- Oui, Lisa, c'est très, très bien.
- Au menu de ces vraies voix du foot, on va commencer par parler des matchs de ce soir en Ligue des champions.
- Et Dieu sait s'il y a des grands clubs, Arsenal, Real Madrid et Bayern Munich, Inter Milan.
- On continuera avec deux modules sur le PSG Aston Villa de demain soir qui fait déjà saliver les supporters du PSG et tous les supporters du foot français.
- Et on conclura avec Bastien Robert du But Football Club pour cette fin de saison totalement dingue.
- Où il y a, j'avais le quota, très peu d'équipes en...
- J'ai le classement, excusez-moi.
- C'est bon, où il y a 6 équipes en 5 points pour accrocher la Ligue des champions.
- Ça m'apprendra à inverser mes papiers.
- Et il n'y a pas à dire, on ne sait vraiment pas qui va se qualifier.
- On va voir ça en détail.
- Allez, c'est parti pour les vraies voix du foot.
- Sud Radio, les vraies voix du foot.
- Et on écoute ton édito, Guy, un édito, je crois, british.
- Oui, évidemment, je n'avais pas oublié Aston Villa.
- Aston Villa, c'est bizarre, c'est un club qui ne m'a jamais fait rêver.
- Je sais bien qu'ils ont été un des rares clubs anglais à gagner ce qu'on appelait la Coupe d'Europe, la Coupe de Champions League maintenant.
- Ils ont battu le Bayern même, en finale.
- Et pourtant, la seule chose qui me faisait rêver quand j'étais jeune dans Aston Villa, c'était le nom de ce club.
- C'était le nom de ce club.
- Et les Anglais ont le chic pour donner des noms romantiques, désuets ou qui font rêver.
- Et Aston Villa, ça me fait penser, vous savez, il y a une chanson d'Alain Souchon qui s'appelle « Comme une nouvelle pour dames » de Somerset Maugham.
- Eh bien, Aston Villa, c'est, on dirait, le titre d'une nouvelle de Somerset Maugham.
- On imagine le club dans un manoir victorien, les joueurs vêtus de costumes en lin froissé, des chemises ouvertes sur des torses allées, qui arrivent à l'entraînement en sunbeam ou...
Transcription générée par IA