Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, les vraies voies qui font bouger la France. 19h-20h, les vraies voies qui font rouler la France. » « On vous souhaite la bienvenue. On est ensemble avec Philippe David, comme tous les jeudis, ensemble jusqu'à 20h.
- On parle automobile au sommaire de cette émission. Donc le vélo dans tous ses états, avec d'abord un constat qui interpelle côté sécurité routière.
- La mortalité a baissé cet été sur les routes de l'Hexagone, sauf pour les deux roues. Ce sera le débat de nos vraies voies dans quelques instants. » « La France a lancé un vélo cargo électrique made in France qui ambitionne de remplacer les petites voitures pour transporter des courses, du matériel, des livraisons ou pourquoi pas des enfants. » « Et quant à notre start-up de la semaine, elle s'est spécialisée dans le reconditionnement de vélos électriques. Allez, un bon coup de pédale aujourd'hui. C'est parti pour les vraies voies qui roulent. » « Les vraies voies Sud Radio. » « Et ce numéro 0826 300 300, Philippe de la Grande Motte est avec nous. » « Bonsoir Philippe. » « Bonsoir Philippe. » « Vous poussez un coup de gueule contre les comportements, les divers et variés des automobilistes au volant. » « Alors moi, je fais beaucoup de routes. Je fais entre 60 et 60 000 km par an. Je suis commercial. Je suis 1m80, je fais 100 kg et j'ai joué au rugby pendant presque 30 ans. » « Donc je n'ai vraiment pas peur du tout de la violence, d'accord ? » « D'accord. » « Mais il y avait quelque chose par contre qui me sidère aujourd'hui, que je ne voyais pas il y a encore 10 ans en arrière, c'est qu'il y a des gens qui deviennent fous en voiture. » « Fous, c'est des gens qui sortent... Récemment, j'ai un petit papy de 72 ans au moins qui est sorti avec un sabre de sa voiture, tout simplement parce qu'il estimait que je l'avais serré trop près. » « D'accord. Ah oui. » « Donc ce que je veux dire, c'est que c'est un gars, après il s'est calmé, mais sur le coup, le bonhomme sort avec un sabre. » « Moi, ce qui me sidère, c'est que les gens n'ont aucune notion, on dirait, de la violence, de ce que ça peut impliquer. » « Là, j'ai été intelligent, je lui ai expliqué que ce n'était pas la peine. » « J'ai été énervé, mais s'il tombe sur un abruti, ce papy se fait couper en deux, quoi. » « Les gens, en fait, n'ont plus aucune limite. » « Et c'est des gens qui n'ont aucune conscience de leur potentiel physique dans la bagarre. » « Et surtout de se retrouver avec un sabre dans sa voiture, ce qui n'est pas très courant. » « Non mais ce qu'il veut bien montrer, c'est que où c'est pour se défendre, où c'est pour attaquer,...
Transcription générée par IA