Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, les vraies voix qui font bouger la France, 19h-20h, les vraies voix responsables.
- Alors normalement c'est mis avec un micro.
- Absolument, le stand de nos amis les buralistes.
- Ah oui, ça fait beaucoup hein.
- Avec 23 500 points de vente répartis sur tout le pays, les buralistes assurent une présence de proximité des métropoles aux zones rurales.
- Souvent dernier commerce des villages, ils luttent contre l'isolement et le désert commercial, tout en diversifiant leur offre pour répondre aux défis économiques et sociaux contemporains.
- Jérémy Pézière, buraliste à Grabelle dans l'Hérault, bonsoir, merci.
- Philippe Valentin, buraliste à la Seine-sur-Mer, bonsoir.
- On vous souhaite la bienvenue, c'est les vraies voix responsables jusqu'à 20h.
- Les vraies voix Sud Radio.
- Et avant de commencer, on voulait faire forcément un petit coucou à Eric Brocardi, que vous connaissez bien, qui est porte-parole de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers.
- Bonsoir, merci.
- Commandant.
- Merci, merci à vous pour l'accueil.
- Merci d'être avec nous.
- C'est un acteur majeur aujourd'hui en France, dans beaucoup de communes en France, avec finalement des pompiers qui se réinventent.
- Qui veulent se projeter vers l'avenir.
- Voilà.
- Mais de toute façon, quand on entend le discours du président de l'Association des maires de France, qui est David Lissnard, il est très clair qu'on ne peut qu'aller dans ce sens-là, d'aller vers une modernité.
- Quand on est au cœur des buralistes aujourd'hui qui ont su se réinventer, il faut aussi, nous, que nous nous projetions vers l'avenir et vers le futur.
- Parce qu'aujourd'hui, c'est vrai que nous distribuons le secours.
- Et pour autant, il faut changer les règles aussi.
- Le sens de circulation pour redonner l'attractivité aux casernes qui souffrent aujourd'hui d'attractivité, pour trouver de la disponibilité, pour trouver des gens qui veulent s'engager.
- Parce qu'aujourd'hui, nous avons 6000 casernes à travers la France, dont 5000 dans la ruralité, qui peinent aujourd'hui à retrouver des services de proximité liés à la santé.
- Et aujourd'hui, nous avons des compétences en interne dans la caserne.
- Nous avons des sujets aujourd'hui à aborder, dans le sens où nous devons rattacher des vraies missions de services publics aussi attachées à la caserne.
- Parce que nous devons profiter des infrastructures.
- Parce que nous devons mettre en commun des moyens.
- Parce que nous devons aussi attirer des nouvelles ressources de financement.
- Parce qu'aujourd'hui, c'est un enjeu.
- Il a évoqué, elles sont épuisées les sources de financement au niveau public.
- Donc il est nécessaire aujourd'hui d'aller trouver des moyens et des méthodes dans d'autres univers pour pouvoir permettre justement de continuer à survivre.
- Parce qu'on le sait aujourd'hui, une caserne de proximité, c'est ce qui garantit la secours de tout un chacun dans les territoires.
- Et ça participe aussi, je rappelle, à la dynamique des centrales.
- La dynamique, effectivement.
- Quand on se plaint aujourd'hui d'un exode du monde rural vers le citadin, il est évident qu'aujourd'hui, le sujet très clair, c'est comment redonner un sens de service public, comment changer les règles de circulation.
- Pourquoi pas aujourd'hui d'avoir...
Transcription générée par IA