Retranscription des premières minutes du podcast :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Cécile de Minibus.
- On vous souhaite la bienvenue, on est ravis de vous retrouver aujourd'hui sans Philippe David.
- Ouh, c'est cool ! Non, je plaisante. Philippe se reviendra bientôt, bien sûr, lundi.
- Avec nous, en tout cas, 0826 300 300, c'est le numéro qu'il vous faut si vous voulez participer à cette émission, jusqu'à 19h.
- Allez, sommaire de cette émission, le grand débat du jour à 17h30, le gouvernement Barnier, sous pression, après avoir présenté son projet de budget 2025, des orientations critiquées de toutes parts.
- Trop de nouveaux impôts, disent les macronistes, pendant que d'autres s'inquiètent des coupes budgétaires, avec, par exemple, 4000 suppressions de postes d'enseignants.
- Donc, on se pose la question, est-ce que les prévisions restent trop optimistes, comme le dit le Haut Conseil des Finances Publiques ? Est-ce qu'il fallait prôner la rigueur aussi de l'Elysée ? Est-ce que c'est un coup dur pour les retraités ? 0826 300 300, avec cette question, Barnier va-t-il pouvoir gouverner ? 149.
- Et puis, le coup de projecteur des vraies voix, le prix Nobel de la paix a été décerné à une organisation japonaise de survivants d'Hiroshima, de Nagasaki, qui lutte contre l'arme atomique.
- C'est la deuxième récompense du comité Nobel à des opposants au nucléaire depuis 2017, alors que la crainte nucléaire plane, venant de Vladimir Poutine et de l'Iran.
- Est-ce que ce prix Nobel de la paix peut contribuer à apaiser les tensions ? Et sommes-nous aux portes d'une véritable menace nucléaire ? Décerné au rescapé d'Hiroshima, de Nagasaki, le prix Nobel de la paix envoie-t-il un message politique ? On va en parler avec nos invités. On vous souhaite la bienvenue.
- C'est les vraies voix jusqu'à 19h.
- Et autour de moi, pour m'accompagner, c'est difficile de dire moi, quand t'as l'habitude de dire nous, Philippe Bilger. Comment ça va, Philippe ? Oui, mais c'est pas des verbes, une forme de narcissisme.
- Oui, vous écoutez, si...
- Moi, j'en abuse.
- Oui, vous avez bien raison. Si vous pouviez le faire pour deux, ça m'arrangerait.
- Et Virginie Calmel, c'est avec nous, présidente de Futurae, de cette belle école.
- Ça va, Virginie ? Bonjour, ça va bien, merci.
- Comment ça va, cette école ? Je vous le demande à chaque fois.
- Ça va très bien. Tous les étudiants ont fait leur rentrée.
- Et comme je vous le rappelle, nous formons en bachelor et en master aux industries créatives.
- C'est bien de le rappeler.
- C'est un métier qui recrute, qui ont besoin de jeunes et ont vu que les jeunes ne connaissent pas le chômage.
- Il n'y a pas de reconversion chez vous ? De plus vieux, ça va peut-être venir.
- Non, mais ça viendra, effectivement, parce qu'on sent que de plus en plus, il faut former.
- D'abord, il faut se former tout au long de la vie.
- Ensuite, on change de métier, ce qui n'était pas le cas des générations précédentes.
- Regardez Philippe Bilger qui était plombier zinger.
- Voilà.
- C'est fou, c'est...
Transcription générée par IA