Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- Bienvenue dans Les Vraies Voix, on est ravis de vous retrouver comme tous les jours.
- J'ai l'impression de dire la même chose tous les jours, mais pourtant, c'est tous les jours que nous sommes très contents avec Philippe David.
- C'est toujours un bonheur de vous retrouver, Cécile, ainsi que les Vraies Voix.
- Bonjour, Cécile de Ménibus.
- Enchanté, Philippe David.
- J'espère que nous allons passer une très bonne émission avec Philippe David.
- Cécile, je ne voudrais pas vous couper, mais je pense que je vais m'arrêter là.
- Ah bon quoi ? Je fais une menace de grève.
- Ah bon, c'est-à-dire ? Parce que Philippe David, hier soir, a tenu des propos intolérables à l'antenne.
- D'accord.
- Je préfère vous faire écouter et vous jugerez par vous-même.
- D'accord, ok, très bien.
- J'ai prévu pour Guy Carlier et l'ensemble des Vraies Voix du foot le pire calembour que je n'ai jamais fait à cette antenne.
- Je me dis qu'il ne faudrait pas qu'on perde, sinon on va passer pour des bananes à split.
- Oui, parce que l'équipe de France va jouer en Croatie demain soir.
- Je ne réponds plus de rien.
- Les bananes à split.
- Écoutez-moi, je trouve qu'elle n'est pas mal.
- Vraiment, elle n'est pas mal.
- Mon cher Maxime, il a fait pire.
- Non, mais les amis, c'est les années 80, en fait.
- C'est la goutte d'eau, sinon on a joué une journée très longue avec Philippe David.
- Vous vous souvenez qu'on a passé l'an 2000, quand même ? Non, mais j'étais très heureux qu'on ne joue pas le match à Zagreb.
- Je n'aurais pas pu la faire, sinon.
- Attendez, ne détournez pas cette conversation, Philippe David.
- Moi, si c'était vous, je me mettrais au coin, là-bas.
- Ah ben, Guy Carlier a dit que c'était du niveau Raymond Domenech.
- Eh ben, c'est du...
- Déjà, je ne pensais même pas qu'il y avait un niveau, moi.
- Voilà, comme ça.
- C'est rare qu'il y ait une révolte de Maxime.
- On ne fait pas la grève, Maxime. Reste avec nous.
- Bon, d'accord.
- Qu'est-ce qu'on peut faire ? On va réfléchir.
- Vous savez quoi, Maxime ? On va réfléchir.
- Je vais jusqu'à 15 minutes. Je laisse autant de réfléchir.
- On l'a interdit de Calembourg, ma chère selfie.
- Mais ça fait des années qu'on l'a interdit.
- Vous savez bien qu'il passe au travers.
- Mais il rédifte.
- Voilà, il balance des trucs comme ça, c'est terrible.
- En tout cas, ce numéro de téléphone de 08-126-300-300, si vous voulez aussi vous plaindre des blagues de Philippe David, bien entendu.
- Vous êtes les belles.
- Bienvenue. Et ça nous aiderait beaucoup.
- Merci beaucoup.
- Allez, au sommaire de cette émission, le Grand Débat du jour à 17h30.
- Bruno Retailleau était ce matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur Sud Radio.
- Nous ne voulons pas la guerre avec l'Algérie.
- C'est l'Algérie qui nous agresse, a lancé le ministre de l'Intérieur.
- Il menace de mettre fin aux avantages des Algériens sur les soins en France.
- Et Alger refuse d'accueillir ses ressortissants expulsables.
- Il exprime aussi sa position personnelle contre le voile dans les compétitions sportives.
- Alors, parlons vrai.
- Retailleau vous a-t-il convaincu ce matin sur Sud Radio ? Et à la question lutte contre le terrorisme et le narcotrafic, voile Algérie, Retailleau est-il homme de la situation ? Vous dites non à 61%.
- Vous voulez réagir.
- Aude, qui est la femme de la situation au standard, vous attend au 0826 300 300.
- Et puis le coup de projecteur des voies à 18h40.
- Des attentats meurtriers auraient pu être évités en France si les enquêteurs avaient eu, en tout cas, accès aux messages cryptés.
- Une réaction du ministre de l'Intérieur encore ce matin sur Sud Radio.
- Bruno Retailleau monte au créneau et exige un droit de défi.
- Chiffrage pour la police, un outil clé dans la lutte contre le terrorisme et le trafic de stupéfiants.
- Alors, parlons vrai.
- Est-ce que face au terrorisme et au narcotrafic, ce verrou doit sauter ? Et à la question, la police doit-elle avoir un accès aux messageries cryptées ? Vous dites oui, illimité, oui, encadré ou non.
- Et pour le moment, sur le vote, excusez-moi parce que le...
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