Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- On vous souhaite la bienvenue, Les Vraies Voix Sud jusqu'à 19h.
- Merci en tout cas de votre fidélité avec Philippe David.
- Bonjour cher Philippe.
- Bonjour chère Cécile.
- Cher, je suis si cher que ça.
- Ah bien, tu es plus appuyé sur le cher.
- C'est un peu cher.
- Bonsoir mesdames.
- Faites-moi une imitation, non ? Je ne l'ai pas.
- J'aime bien imiter Philippe Bilger, mais il n'aime pas que je l'imite, c'est ça le problème.
- Non, c'est déjà suffisant avec le Fabrizio qui me fait le coup chaque soir quand il vient pour le foot.
- Mon frère Olybrius adore être avec vous.
- Alors vous le faites de manière très gentille.
- L'inventeur de Philippe David, c'est qu'il rigole à ses propres blagues.
- C'est pas mal, non ? C'est pas mal, c'est pas mal.
- Ça va falloir que je devienne normal.
- Non, les fantasmes, on n'en parle que chez Brigitte Lange.
- C'est impossible.
- C'est pas possible.
- Bienvenue en tout cas dans cette joyeuseté, si je puis dire.
- Ainsi, ce numéro de téléphone 0826 300 300 qui est le vôtre, bien entendu.
- Au sommaire de cette émission, le grand débat du jour à 17h30.
- Le gouvernement lance un nouveau livret d'épargne pour aider au réarmement français.
- Il sera accessible dès 500 euros.
- Dans le même temps, l'investisseur et entreprise de défense se sont retrouvés aujourd'hui pour parler financement et renforcement de l'industrie militaire.
- Alors parlons vrai.
- Est-ce que demander de l'argent aux Français dans le pays le plus taxé au monde vous paraît logique ? Et à cette question, êtes-vous prêt à prêter de l'argent à l'État pour développer nos industries d'armement ? Vous dites non à 96%.
- Vous voulez réagir ? Ce n'est pas 500 euros, mais 5 centimes d'euros au 0826 300 300.
- Et Rachid Temal sera avec nos vice-présidents PS de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat.
- Et puis le coup de projecteur des vraies voix à 18h40.
- Il fait bouger les lignes selon la formule consacrée.
- Mais deux mois après son arrivée à Méditerranée, il n'y a plus de lignes.
- À la Maison-Blanche, Donald Trump est loin d'avoir fini la guerre en Ukraine en 24h, comme il l'avait promis et annoncé avant sa campagne.
- Alors parlons vrai.
- Est-ce que pour vous, le monde a changé ces deux derniers mois ? Et à cette question, deux mois après son arrivée à la Maison-Blanche, Trump a-t-il vraiment bouleversé la géopolitique mondiale ? Vous dites oui à 87%.
- Vous voulez réagir ? Les vraies voix attendent vos appels au 0826 300 300.
- Et notre invité Olivier Piton, avocat à Paris et à Washington et ancien député suppléant des Français d'Amérique du Nord, auteur de nombreux livres.
- Sur la politique américaine, il sera avec nous pour en parler.
- On vous souhaite la bienvenue, les vraies voix, jusqu'à 19h.
- Au revoir.
- Au revoir sur le radio.
- Au revoir, Philippe Bigère.
- Ou alors, il y avait la version Yves Mourouzi.
- Bonjour.
- C'était punchy à 13h.
- C'était une imitation, ça, Philippe David ? Non, non, ce n'était pas une imitation, mais c'était très punchy.
- Bonjour, Loïc Garin.
- Je suis venu dire au revoir.
- Avec un bonjour.
- Un bonjour comme ça, on avait envie de dire au revoir.
- Vous avez bien raison.
- Avec nous, Mickaël Sadoun aussi.
- Bonsoir, Mickaël.
- Bonjour, bonsoir.
- Bonsoir.
- Il a un style, Mickaël.
- Plus ça va, plus il a un style.
- Oui, ça y est, j'essaie de le développer.
- Excusez-moi, quand je vois de ce côté du studio les deux barbuges, je me dis qu'on a Fidel Castro et Che Guevara ressuscités.
- Ça me fait plaisir.
- Che Guevara, c'était un beau gosse.
- Moi, Castro, il n'y a pas l'uniforme vers l'olive, quand même.
- Non, non, non.
- Le temps, peut-être.
- Mais il paraît que Fidel Castro a eu quelque chose comme 30 000 maîtresses dans sa vie.
- Ça va bien, je ne sais pas si tu y es.
- Il vous en reste combien ? Sinon, seulement 22 000.
- Et c'est là où vous dites que par rapport à Philippe Bigère, c'est un véritable nuque.
- Il manque Régis Debré, vous êtes parfait.
- Très bien.
- Maintenant,...
Transcription générée par IA