Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David.
- Les Vraies Voix jusqu'à 19h sur Sud Radio, j'officierai seul, on embrasse Christine Bouillaud qui a délicieusement bien fait l'intérim ces trois derniers jours et on embrasse Cécile de Ménibus qu'on retrouvera lundi dans ce studio.
- Au menu de l'émission, à 17h30, le grand débat du jour, on va revenir sur le drame de Nantière, un élève en poignard de quatre autres, une élève est morte, trois autres sont blessés, ce n'est pas un fait divers selon le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.
- Alors parlons vrai, est-ce qu'on peut encore parler de fait divers vu le nombre d'attaques au couteau ? Et à cette question, l'attaque au couteau de Nantes, c'est un fait divers ou un fait de société ? Vous dites à 86% que c'est un fait de société, vous voulez réagir ? Le 0826 300 300, notre invité sera Christophe et Hoche Duval, hauts fonctionnaires, auteurs du livre « Le prix de l'insécurité ».
- Enquête sur une défaillance d'état publiée aux éditions Erol.
- À 18h40, le coup de projecteur des vraies voix, le gouvernement veut imposer aux médecins jusqu'à deux jours par mois de consultation dans des déserts médicaux.
- C'est une annonce du Premier ministre François Bayrou dans le Cantal.
- Une mesure présentée comme une alternative à la fin de la liberté d'installation.
- Alors parlons vrai, est-ce que cette proposition vous paraît crédible ? Et à la question du jour, faut-il, comme le dit Bayrou, envoyer les médecins, consulter deux jours par mois dans les déserts médicaux ? Vous dites oui à 57%, vous voulez réagir ? Encore et toujours, le 0826 300 300.
- Et notre invité sera Jean-Paul Hamon, président d'honneur de la Fédération des médecins de France.
- Et nos trois vraies voix du jour, le président de l'Institut de la Parole, Philippe Bilger.
- Bonsoir Philippe.
- Alors vous êtes seul le vendredi, comment ça ? Oui, je vois votre désespérance de ne pas avoir une femme à vos côtés.
- Non, mais que vous valiez deux personnes.
- On peut en douter.
- En poids, oui.
- Mais en tout cas, vous avez été, ça a été, cette semaine a été merveilleuse.
- Ça s'est très bien passé.
- On salue nos vraies voix du jour, Mickaël Sadou.
- Bonjour Mickaël, c'est bon temps que vous n'avez pas vu.
- Ça fait tellement longtemps, ça fait trop longtemps, ça fait plaisir.
- Qu'est-ce que vous devenez un peu ? Ben, toujours les vraies voix.
- Toujours les vraies voix.
- Ça marche bien, ça a l'air de bien marcher.
- Je vois les résultats sur Internet, franchement, bravo.
- Ben merci, c'est grâce à nos excellents chroniqueurs comme vous.
- Mais je crois, et je crois qu'aujourd'hui, on va faire un très bon score, si vous voulez mon avis.
- J'imagine toujours par la parole à la défense, comme dans un prétoire, vous ne m'en voudrez pas.
- Ah non, au contraire.
- Bonsoir Loïc Guérin, avocat pénaliste et vraie voix.
- Il y en a que vous auriez envie de défendre, là, pour quelque chose, dans ce studio ? Tout le monde.
- Tout le monde ? Oh ben c'est bien.
- Il y a tout de même quelque chose d'étrange.
- Avocat pénaliste et vraie voix.
- Alors j'aurais pu dire la même chose du parquet.
- Tout à fait.
- Excusez-moi, mais il y en a certains qui le règlent.
- Oui, bravo.
- Allez, notre auditeur du jour.
- Direction.
- La superbe ville d'Hortès, dans les Pyrénées-Atlantiques.
- Bonsoir Cédric.
- Oui, bonsoir.
- Bienvenue dans les vraies voix de Sud Radio.
- Et vous voulez faire un coup de cœur, et ça va faire plaisir à nos vraies voix, sur la langue française.
- Exact, tout à fait.
- Donc merci déjà pour votre écoute.
- Je salue aussi, au passage, tous les auditeurs qui aiment la vraie voix, la vraie parole.
- Donc parlons vrai.
- Qu'est-ce que la parole ? Qu'est-ce que la vérité ? Qu'est-ce que la vérité ? Qu'est-ce que la vérité ? Donc moi, je ne dis pas détenir la vérité de notre parole française, parler franc, parler libre donc.
- La franchise, c'est la liberté, c'est d'être affranchi de toute grille de lecture qui nous soit imposée depuis le conditionnement étatique.
- Donc, j'aimerais qu'on parle vrai, mais maintenant, il faudrait commencer à parler...
Transcription générée par IA