Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
- On vous souhaite la bienvenue, Les Vraies Voix, aujourd'hui comme hier avant-hier et à partir de lundi, de mardi, de mercredi, entre 17h et 19h.
- Vous étiez là dimanche, vous, Cécile.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Vous avez dit hier avant-hier.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Une rébellion.
- Ah bon d'accord, une rébellion. Ok, ça commence bien, cette émission.
- On a eu déjà de la rébellion hier avec Françoise Degoy et Virginie Calmels.
- Bref, heureusement, Philippe David est là.
- Bonsoir, Philippe.
- Bonsoir, Cécile.
- Vous savez pourquoi il se rebelle ? Non.
- Parce qu'il est supporter d'Arsenal ce soir.
- Et donc, il sent qu'il va être un peu seul dans les vraies voies du foot.
- Vous savez quoi ? Sale temps pour les réalisateurs, j'ai envie de dire.
- Très bien.
- La messe est dite, comme on dit.
- Il craint que vous lui demandiez les chiffres, ma chère Cécile.
- Ah oui, je ne les ai toujours pas.
- Ça fait cinq ans qu'on lui demande.
- Mais bon, écoutez, à un moment donné, il va bien se passer quelque chose.
- Un jour, je vais me mettre au travail.
- Voilà.
- Nous aussi, on est loin, on est loin.
- Allez, les amis, on vous souhaite la bienvenue avec ce numéro de téléphone 0826 300 300.
- Et notre ami Aude, bien entendu, est là pour vous recevoir avec gentillesse et, j'ai envie de dire, talent.
- Et sourire.
- Et sourire, exactement.
- Et sourire.
- Le grand débat du jour à 17h30.
- Le maire PCF de la Grande Combe dénonce les tentatives d'instrumentalisation après le meurtre.
- D'infidèles dans une mosquée, Rima Hassan et d'autres insoumis lui avaient reproché son absence de la marche blanche dans sa ville.
- Alors, parlons vrai.
- Est-ce que la manifestation de dimanche, alors que l'enquête commençait à peine, vous a choqué ? Et à cette question, comme dit la maire communiste de la Grande Combe, y a-t-il une instrumentalisation du meurtre d'Abu Bakar ? Vous dites oui à 94%.
- Vous voulez réagir ? Le 0826 300 300.
- Et Patrick Haddad sera avec nous, maire de Sarcelles, très engagé sur les questions liées à l'apaisement des tensions entre communautés.
- Et puis, le coup de projecteur des vrais voix.
- À 18h40, Gérald Darmanin veut faire payer les prisonniers une contribution à leurs frais d'incarcération.
- Les prisons coûtent quasiment 4 milliards d'euros par an, indique le garde des Sceaux.
- Alors, parlons vrai.
- Est-ce que cette mesure vous paraîtrait normale, sachant que les détenus sont logés, nourris et chauffés aux frais du contribuable ? Et à cette question, comme dit Darmanin, les détenus doivent-ils participer à leurs frais d'incarcération ? Vous dites oui à 92%.
- Vous voulez réagir ? Encore et toujours, le 0826 300 300.
- Frédéric Fronck sera avec nous, secrétaire national du syndicat pénitentiaire UFAP, UNSA, Justice.
- On vous souhaite la bienvenue.
- On a les chiffres ou pas ? Toujours pas.
- Soyez les bienvenus, on est ensemble jusqu'à 19h.
- L'espoir fait vivre.
- Les vraies voix sud-radio.
- Et avec Philippe Bilger autour de cette table.
- Bonsoir, mon cher Philippe.
- Bonsoir, mes amis.
- Auteur de Me Too Much aux éditions Heliopole.
- Autour de cette table, en face de lui, Jean-Christophe Cuvic est avec nous, secrétaire national du syndicat Police Unité M.I.
- Oui, Unité même tout court.
- M.I. c'est le ministère de l'Intérieur, donc c'est avec tous mes partenaires.
- On a le droit de le dire, bonjour.
- J'ai de nombreux partenaires.
- Ah, vous avez beaucoup de partenaires, c'est intéressant.
- Le syndicalisme, oui.
- Vous êtes le moitié chez Brigitte Larey, entre 14 et 16.
- C'est vrai que votre vie privée ne nous intéresse pas.
- C'est ma vie syndicale.
- Il est au rouge, il rougit.
- C'est dingue, c'est dingue.
- Est-ce qu'on va réussir à faire rougir Pierre-Yves Martin qui est avec nous, consultant indépendant.
- Bonsoir Pierre-Yves.
- Bonjour.
- Bonsoir.
- Et vous avez beaucoup de partenaires ? Non.
- Non, c'est indéfinable.
- Demandez à Jean-Christophe comment il fait.
- D'accord.
- Et à Philippe Bilger.
- Oui, à Philippe Bilger.
- Moi, je suis tout seul.
- Oui.
- Oh ! Vous voulez qu'on fasse une petite...
- Oh, le pauvre chéri.
- En tout cas, cette chaîne YouTube sur laquelle, bien sûr, vous pouvez nous regarder, on vous fait des...
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