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Par avec Sébastien Gillet

Sud Radio partenaire du SEPEM Industries de Toulouse


Sud Radio partenaire du SEPEM Industries de Toulouse
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Enfin, on file à Toulouse ou on revient à Toulouse quand on est Sud Radio ? On sait jamais vraiment. En tout cas, on est avec notre invité Sébastien Gillet. Bonjour.
- Bonjour. Bienvenue sur Sud Radio. On est ravis de vous retrouver ce matin. Directeur général de GL Events Exhibition Industrie.
- Sud Radio, partenaire du CPM Industrie de Toulouse. Alors c'est cette semaine, mardi, mercredi, jeudi. Mardi soir, on retrouvera en direct deux du CPM Industrie, « Les vraies voix Sud Radio » avec Philippe David et Cécile de Ménibus. Avant ça, on va le traduire pour tous ceux qui nous écoutent et qui le découvrent.
- Le CPM Industrie de Toulouse. Est-ce que j'ai tort quand je le présente comme le salon de l'industrie ? Pas du tout. Non, non. Vous n'avez pas tort. Vous avez entièrement raison. Notre objectif, nous, c'est de transformer le parc Expo de Toulouse en plus grand laboratoire, en plus grande usine du Sud-Ouest, en plus grand marché. Et ce qui va permettre en fait à l'ensemble des filières industrielles, de l'agro, l'aéronautique par exemple, de venir en fait faire leur marché sur les nouvelles technologies, sur les nouvelles tendances.
- Les solutions de pointe qui vont faire en sorte que les usines de demain, mais elles le sont déjà aujourd'hui, mais encore plus demain, soient moins énergivores, soient plus productives, soient plus décarbonées, soient plus dans la tradition écologique.
- Donc c'est tout ce qu'on va trouver en fait au CPM et le CEPHIA, parce que n'oublions pas qu'il y a aussi le CEPHIA à côté d'un salon qui est dédié à l'agroalimentaire.
- À l'agroalimentaire, qui est aussi un énorme secteur économique français. Sébastien Gillet, on entend tout le temps parler de l'industrie dans l'actualité, avec des mauvaises nouvelles. Souvent, demain, on parlera par exemple même de l'industrie allemande encore plus puissante qui va mal.
- Vous, vous nous montrez qu'en fait, il y a de bonnes raisons d'espérer des jours meilleurs.
- Complètement, parce que la France, aujourd'hui, contrairement à l'Allemagne, comme vous avez fait écho, c'est que la France est un secteur par l'état de l'industrie sur le multifiaire.
- On parle de nucléaire, on parle d'agroalimentaire, on parle d'aéronautique, on parle de l'automobile, on parle de médical, sur lesquels on est quand même des points forts.
- L'agroalimentaire, c'est le premier secteur industriel français. Si vous allez outre-Rhin, vous êtes sur une mode industrie qui est vraiment l'automobile.
- Et puis en France, on a quand même la chance aujourd'hui, c'est qu'on a vraiment pris ce virage de l'industrie du futur il y a 10 ans, donc le fameux 4.0, où on modernise l'outil industriel.
- On a là aussi la chance, sans faire de politique une nouvelle fois, c'est que le gouvernement, depuis 10 ans, a pris ce dossier de l'industrie vraiment au-dessus de la pile.
- Et après, c'est vraiment ces challenges, notamment les compétences, les formations. Aujourd'hui, on a quand même 188 postes à prouvoir dans l'industrie. C'est quand même exceptionnel.
- On est sur un...

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