Retranscription des premières minutes du podcast :
- Direction Nice pour parler d'un événement, Nice Matin et Sud Radio. Bonjour, Guilhem Rekavi.
- Oui, bonjour. Bienvenue sur Sud Radio. Vous êtes journaliste, directeur délégué à Varmatin. Pardon, j'ai dit Nice Matin. Je me suis...
- Bon, écoutez, excusez-moi. Oui, mais c'est le même groupe. C'est la même maison. On va pas se moquer. C'est comme Sud Radio et Lyon-Capital.
- On est d'accord. Parlons maintenant de ça. Un débat, un événement avec Philippe David, notre animateur des vraies voix Sud Radio, que vous retrouvez tous les soirs de 17h à 19h, pour parler du populisme judiciaire. C'est un événement citoyen, et c'est important.
- Oui, c'est un événement citoyen qui s'inscrit d'ailleurs dans le cadre du sommet citoyen qui aura lieu à Lille du 12 au 14 juin prochain.
- Et dans le cadre de ce sommet citoyen, il y a des étapes en région. On a parlé de santé du côté de Lille.
- On parlera de handicap à Paris.
- Dans quelques jours, début février. Et donc à Nice, on va se pencher sur la question du populisme judiciaire.
- C'est le thème de cette journée de table ronde. Il y en aura 6 tout au long de la journée, avec des experts, des spécialistes qui vont débattre sur le plateau télé de Nice Matin, au cœur de la rédaction.
- Alors je vous livre quelques-uns des thèmes. On va parler réseaux sociaux, défis et conséquences. On va parler de la modération sur ces réseaux sociaux.
- On va aussi parler de la politisation de la justice, menaces pour la démocratie. Et puis autre sujet également, la séparation des pouvoirs à l'ère du numérique.
- Comment on fait ? Comment on procède ? Voilà pas mal de thèmes comme ceux-là. Ça débutera à 9h30 et on va débattre jusqu'à 18h30 aujourd'hui dans la bonne humeur avec des gens qui ont pas mal de choses à dire.
- Oui, parlons vrai, comme on dit sur Sud Radio. En plus, le monde change. On peut le lire tous les jours dans les pages de Nice et vers Matin, comme en écoutant Sud Radio.
- Et c'est ce qu'on verra dans ces débats.
- Oui. C'est clairement ça. C'est-à-dire que la société évolue. Et cette journée est l'occasion de prendre un petit peu le temps de la hauteur, de regarder les choses d'un petit peu plus haut et de se dire « Bon, ben très bien, la justice est ce qu'elle est. Mais les moyens de communication, ces réseaux sociaux ont tout bouleversé en une petite quinzaine d'années. Comment est-ce que face à ça, on se positionne ? Est-ce qu'on laisse les procès se faire sur les réseaux sociaux ? Est-ce que le magistrat, par exemple, est différent ? Est-ce que la justice, comme cela, se fait de façon citoyenne et en public sur ces plateformes numériques ? » Et donc, véritablement, c'est l'occasion de prendre de la hauteur sur nos pratiques, j'allais dire quotidiennes, et de se dire au final qu'est-ce qu'on veut.
- Et c'est un petit peu le principe...
Transcription générée par IA