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Par avec Athina Argyriou

Transition écologique : “La mobilité est un droit et non un luxe !”


Transition écologique : “La mobilité est un droit et non un luxe !”
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- C'est la grand-messe bisannuelle de l'automobile en France, le mondial de l'automobile.
- Une bonne partie, mais pas tous, des constructeurs sont revenus au mondial après la désaffection consécutive au coronavirus.
- Faut-il s'inquiéter pour la santé de nos constructeurs ? Faut-il taxer les constructeurs étrangers comme les voitures chinoises par exemple ? On va en parler avec notre invitée, Atina Argyriou, bonjour.
- Bonjour et merci pour cette invitation très matinale.
- Très matinale, effectivement. Bienvenue à vous sur Sud Radio Atina Argyriou.
- Vous êtes la présidente déléguée de l'Axiame.
- L'Axiame, c'est la chambre syndicale de l'automobile et du motocycle.
- En gros, vous représentez les constructeurs internationaux en France.
- On dit internationaux, vous préférez, on pourrait dire les marques qui ne sont pas françaises.
- Quoi qu'il en soit, vous pesez près de la moitié du marché automobile français, ça c'est très important.
- Avec certaines marques, pas toutes, qui sont revenues.
- On peut parler de BMW par exemple, on peut parler d'Audi, de Skoda, de Volkswagen, au mondial de l'automobile.
- Pourquoi toutes les marques ne sont pas nécessairement revenues ? C'était consécutif au Covid, c'était dû à quoi ? Avant le Covid, les salons avaient pris une dimension qui a échappé un peu à l'objectif premier.
- Que ce soit des présentations de nouveaux modèles ou bien les ventes.
- Juste après le Covid, il y a eu de toute façon une réorganisation de toute la filière.
- On constate beaucoup des fusions-acquisitions.
- C'était un peu temps pour savoir si les salons, l'automobile, les seuls automobiles ou d'autres salons, parce qu'on a vu exactement la même chose à Genève et à Munich, c'était un outil de marketing qui aurait pu perdurer.
- Alors cette année, le mondial a coïncidé avec...
- Un contexte économique et législatif assez dense.
- Et du coup, sont devenus les lieux de toutes les discussions.
- Un grand rendez-vous de négociations.
- Exactement, inter-filières.
- Et c'est vrai qu'il y avait eu une certaine folie des grandeurs de différents rendez-vous avant la crise du coronavirus.
- On s'adapte d'abord. Est-ce que ceux de vos adhérents qui sont revenus sont contents ? Est-ce que vous avez des signaux positifs qui vous reviennent de BMW ? On les a reçus cette semaine sur Sud Radio, de Mini par exemple, de Volkswagen, de Skoda.
- On va faire un...
- Six ans après, les premiers signes sont plutôt prometteurs.
- Je me suis rendue plusieurs fois cette semaine.
- J'ai vu avec beaucoup de plaisir des jeunes personnes qui reviennent, qui s'intéressent à nouveau à l'automobile.
- Et un engouement qu'on n'avait pas vu depuis très longtemps.
- Alors je pense que c'est plutôt positif.
- Il y a encore des gens qui aiment l'automobile, et spécialement des jeunes.
- C'est important de le rappeler.
- Parlons de ces nouvelles marques qui ont vocation à faire partie de votre organisation dans les constructeurs internationaux.
- Notamment le numéro 1.
- Numéro 1 mondial de l'automobile.
- Si je vous dis numéro 1 mondial de l'automobile, vous qui nous écoutez sur Sud Radio, vous me direz Toyota normalement, ou alors Volkswagen, c'est plus...

Transcription générée par IA

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