Retranscription des premières minutes du podcast :
- Un nouveau rendez-vous qui débarque ce soir comme tous les samedis à 20h30, ça s'appelle Faut que ça change, ce sera sur Sud Radio de 20h30 à 21h et ce sera avec notre invité Anthony Martin-Smith, bonjour ! Bonjour Jean-Marie ! Et bienvenue sur Sud Radio, bienvenue sur les programmes de Sud Radio, on vous retrouve tous les samedis à partir de ce soir à 20h30, Faut que ça change, on va parler handicap, je le rappelle, vous êtes déficient visuel vous-même, on va parler handicap, inclusion mais surtout sans langue de bois.
- Sans langue de bois, avec effectivement un programme consacré entièrement au handicap, un débat entre deux personnalités, une auditrice et un auditeur qui est concerné par le handicap, directement ou indirectement, ça peut être aussi un proche aidant, et puis une personnalité du privé ou du public qui a le pouvoir de faire changer les choses et ce soir, ce sera notamment une ministre.
- Oui, ce sera même la ministre déléguée en charge des personnes handicapées de France, Charlotte Parmentier-Lecocq, quelles questions vous lui poserez ? On va parler des jeux parallèles.
- On va parler de l'Olympique, de l'héritage, parce qu'on a quand même ce sentiment qu'il y a eu quelques oublis, à commencer par le remaniement du gouvernement Michel Barnier, où son portefeuille même était absent.
- On rappelle qu'il n'y avait pas de ministre en charge du handicap pendant les premiers jours, l'oubli a été réparé au bout d'une semaine.
- Exactement, et on en avait parlé d'ailleurs avec vous ici même, dans la matinale de Sud Radio, le week-end.
- Et puis on va évidemment revenir sur la semaine européenne pour l'emploi des personnes handicapées, qui s'est achevée hier.
- On va aussi revenir sur...
- La location adulte handicapée, voir si elle va être revalorisée.
- Vous savez que pour bon nombre de Français, des millions, enfin 1 300 000 plus exactement, eh bien l'AH est le seul revenu sur lequel les personnes en situation de handicap peuvent vivre.
- Effectivement, oui, c'est une situation assez compliquée.
- Comment on parle du handicap sans langue de bois ? D'abord, tiens, aidez-moi à déceler, c'est quoi la langue de bois sur le handicap d'habitude ? Oh, nous avons connaissance du sujet, vous savez, on travaille dessus.
- Mais tout doit...
- Tout doit bouger, on est d'accord avec vous, etc.
- C'est ça, la langue de bois, c'est finalement dire...
- On vous aime, on fait ce qu'on peut.
- On a conscience du problème, mais on fait ce qu'on peut, oui.
- Oui, on fait ce qu'on peut, ça c'est ce que vous ne voulez plus entendre.
- Qu'est-ce que vous voulez entendre ? Moi, ce que je veux entendre, c'est des actions, des promesses concrètes.
- Des choses qui vont faire que le quotidien des gens vont pouvoir raisonnablement bouger et changer.
- Oui, donc des promesses concrètes en ces temps de contraintes budgétaires, c'est pas facile à obtenir.
- Oui, justement.
- À votre échange.
- Justement, est-ce que l'économie ne va pas être un poids supplémentaire sur la...
Transcription générée par IA