Retranscription des premières minutes :
- Robert Rabany, bonjour. Bonjour.
- Bienvenue sur Sud Radio. Vous êtes ici chez vous, évidemment. Vous êtes le créateur et l'organisateur de cette magnifique compétition, la compétition de surf Biarritz Pays Basque Intersport Maïder Arostegui, 39e édition. Ça a commencé en 85, c'est ça ? Tout à fait. C'est une longue aventure.
- Oui, une très très longue aventure. C'est ce week-end. Alors pardonnez-moi, j'ai dit qu'il faisait beau. Est-ce qu'il fait beau, là ? Non. Alors malheureusement, on a de la pluie, du vent, mais on a des vagues. Ça, c'est important pour commencer. Il nous faut des vagues.
- Et donc le beau temps est à annoncer en fin de matinée.
- Alors ça, c'est important aussi. Vous avez des vagues. Ça, c'est formidable. Vous allez pouvoir faire évidemment vivre cette compétition tout le week-end.
- J'aborde pour ceux qui nous écoutent, qui connaissent le nom de cette course et à qui ce nom dit quelque chose.
- Maïder Arostegui, c'est le nom d'une personne. C'est le même nom, d'ailleurs, que la mère de Biarritz, Maïder Arostegui.
- Mais c'est pas la même personne. C'était sa tante.
- Oui, c'était sa tante qui tenait la célèbre épicerie Arostegui à Biarritz, qui malheureusement s'est noyée et qui m'avait aidée quand j'étais jeune à monter les premières opérations. Donc je lui ai rendu hommage.
- Et ça fait plus de 39 ans que cet hommage perdure. Voilà.
- Oui, c'est un très très bel hommage, évidemment. Comment va se dérouler cette compétition ? Alors cette compétition va débuter ce matin vers 9h30 avec les jeunes catégories. C'est les 14-15 ans qui vont commencer à passer.
- Donc attendez bien parce que la houle n'est pas trop grosse, étant donné que ça va monter beaucoup plus cette nuit pour demain.
- Donc c'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories.
- C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. C'est les premières catégories. Et les cadors vont rentrer à partir de dimanche après-midi.
- Oui, à partir de dimanche après-midi. Les cadors, vous les déterminez comment ? Eh bien je termine comme Desca Olivas, les Cousinets, après les meilleurs surfers français qui sont là, donc qui en plus les pointent compte.
- Donc ils viennent et on a tous les meilleurs. Des grands noms.
- Voilà, des grands noms qui vont nous transformer un peu.
- Clément Rosero, le parrain, qui fait la compétition. Et voilà, tous ces grands noms sont là à Biarritz maintenant 3 jours.
- Champion du monde de grosses vagues en tracté, Clément Rosero, votre parrain.
- Tout à fait. Il a gagné le challenge Tudor à Nazaré. Il a battu Australien, Voyer. Et c'est un Français et en plus un biaro. On en est fiers.
- Exactement. Vous avez aussi eu une marraine cette année, Stéphanie Barnex ? Oui, Stéphanie Barnex, une grande championne qui, elle, fait des traversées Pôle Nord, qui fait Tahiti, tout ça.
- Et tout ça pour la cause contre la vie, contre le cancer. C'est vraiment une personne extraordinaire, une waterman, et qui transmet que de très très bonnes choses.
- Ça va être un spectacle assez spectaculaire. On le rappelle, c'est la plus ancienne compétition de surf d'Europe, de toute l'Europe. On est d'accord ? Tout à fait. On en est particulièrement fiers.
- Ah ben il y a de quoi. Il y a de quoi, absolument. C'est ce qui fait qu'en gros, une bonne partie de toutes les ligues du surf mondial sera chez vous.
- Tout à fait.
- Alors on pourra assister à ce spectacle. Ça va se passer comment ? Quel est le programme de ce week-end ? Le programme de ce week-end, ça commence aujourd'hui samedi. Ça aura lieu dimanche. Et les finales auront lieu le lundi de Pâques. Avec de la houle.
- Avec de la houle en plus. Vous avez des favoris ou pas ? Comment ? Vous avez des favoris.
- Ah oui, oui, oui, oui. On a des favoris, oui. Bien sûr. Dans les meilleurs, il y en a plusieurs. Donc je ne vais pas nommer un plus que l'autre.
- Mais moi, j'ai mon petit favori, bien sûr. Et on espère que......
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