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Par avec Serge Bonnevie

Disparition de Michel Blanc : l’émotion à Val-d’Isère !


Disparition de Michel Blanc : l’émotion à Val-d’Isère !
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « Monsieur Duf, comme nous avons 20 minutes pour monter, nous allons en profiter pour faire un petit cours sur le planter du bâton.
- Et dès l'arrivée, pour vous récompenser, nous irons prendre un verre de vin chaud. » L'homme que vous entendez, vous avez déjà entendu cette scène, vous avez déjà vu cette scène, elle est mythique.
- C'était les bons effondus qui avalent Dizer. Cet acteur, c'était Péfernant Bonnevie et c'était le père de notre invité.
- Bonjour Serge Bonnevie.
- Bonjour.
- Soyez le bienvenu sur Sud Radio. Merci de nous accorder un petit peu de votre temps de si bon matin.
- Vous êtes vous-même le fils de Péfernant Bonnevie, c'était l'acteur qu'on entendait.
- Ce moniteur de ski qui jouait faussement ce rôle un petit peu acariâtre et qui avait dans un cours particulier, réservé pour toute la journée, Jean-Claude Duf en cours de ski. Il lui apprenait à planter le bâton.
- C'est une scène qui est restée tellement mythique que l'expression est restée dans toutes les stades.
- La présentation de ski n'est pas seulement à Val d'Isère.
- Oui, effectivement. Planter le bâton, c'est quand même devenu très mythique dans le domaine du ski.
- Comme vous dites, pas seulement à Val d'Isère. Le planter le bâton, ça représente le domaine du ski de cette époque.
- C'est resté dans les mémoires et surtout des plus jeunes aussi aujourd'hui.
- Ce qui permet aujourd'hui encore sur les pistes, quand on skie, d'entendre « tu n'as pas porté ton bâton ».
- Voilà, c'était la scène mythique.
- Exactement. Alors effectivement, c'était resté.
- Votre père avait joué cette scène. Ça n'avait pas dû durer longtemps.
- Pourtant, le tournage est une scène emblématique du film.
- Mais concrètement, ils sont restés amis après le tournage ? Ils ne se sont pas tellement rencontrés.
- Mais effectivement, c'était une scène qui a duré une petite partie de l'hiver.
- Parce qu'il a fallu quand même plusieurs jours pour tourner cette scène.
- Ils se sont rencontrés durant cette saison.
- Et puis ensuite, quand le film est sorti, ils ont communiqué un petit peu quand même par rapport à cette scène.
- Oui, en toute logique, évidemment.
- Quels souvenirs vous en gardez, vous, l'enfant que vous étiez ? Moi, à l'époque, je me souviens que quand Fernand rentrait, il disait « aujourd'hui, ils m'ont fait tourner une scène, ils m'ont planté des bâtons dans le dos, mais je n'ai rien senti.
- Ils m'ont mis une plaque, ils racontaient un peu ces anecdotes qui le faisaient beaucoup rire, lui. » Et il en avait gardé des souvenirs aussi ou pas ? Oui, bien sûr.
- Il en parlait régulièrement parce qu'il était identifié comme le moniteur des bronzés fonduskis, votre père ? Oui, tout à fait. Pendant les décennies qui ont suivi, il y a eu beaucoup de gens qui venaient le rencontrer sur Val d'Isère.
- Aussi des journalistes du monde entier qui passaient.
- On se demandait pourquoi.
- Des gens qui venaient d'Asie, des journalistes qui prenaient quelques demi-journées pour venir le rencontrer et parler...

Transcription générée par IA

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