Retranscription des premières minutes du podcast :
- Générique Puisqu'Abdelatif Benazir est notre invité, bonjour ! Bonjour ! Et bienvenue chez vous sur Sud Radio, la radio du rugby.
- La France entière a exulté avec vous à chacun de vos succès, notamment en bleu.
- Elle a pleuré avec vous aussi devant l'épaisseur d'une main qui vous manquait pour aplatir en 95, en demi-finale déjà contre l'Afrique du Sud.
- On est ravis de vous accueillir aujourd'hui, Abdelatif Benazir, sur Sud Radio, vraiment.
- Ne serait-ce que parce que la dernière fois que vous êtes venu dans le Grand Matin Week-end sur Sud Radio, c'était parce que vous partiez en urgence pour le Maroc à la suite du séisme qui avait été épouvantable.
- Et pour une fois, on va parler de choses plus joyeuses, en tout cas, et c'est pour ça que c'est important de vous accueillir.
- Justement, le Maroc, on va en parler.
- Vous serez demain dans la délégation de la visite historique d'Emmanuel Macron au Maroc.
- La réconciliation entre le Maroc et la France après des années de relations compliquées, on va l'aborder avec vous.
- Mais avant ça, on revient sur World Rugby.
- Le rugby, notre rugby sur Sud Radio, puisque vous êtes candidat à la présidence de World Rugby.
- Vous avez le soutien de la France.
- Vous avez soutenu aussi Florian Grille, réélu très récemment à la Fédération française de rugby.
- Est-ce que vous êtes toujours aussi confiant dans vos chances de l'emporter ? Oui, chaque jour est meilleur que la veille.
- C'est vrai qu'on passe du terrain au dossier.
- Effectivement, il y a un lobbying assez important à faire et qui aussi convaincre toutes les fédérations et régions du monde.
- On a eu la chance de les recevoir pendant deux événements mondiaux qui sont passés en France, notamment la Coupe du monde 2023 et les Jeux olympiques.
- C'était l'occasion unique un peu pour échanger avec eux et puis faire aussi un diagnostic un petit peu de ce qui se passe dans le monde du rugby.
- Il n'y a pas que le rugby amateur en France qui est en crise, puisque vous parlez d'élection de Florian Grille, mais il y a aussi une crise mondiale qui touche un peu, y compris les grandes nations.
- Vous savez, nous, on n'est pas le foot, on n'a que grandes nations un petit peu qui dominent un peu ce jeu.
- C'est les mêmes qu'on les voit, mais ces nations, malheureusement, pendant très longtemps, ont été conservateurs.
- Ils n'ont pas voulu peut-être un peu ouvrir les portes à d'autres nations, à d'autres régions.
- C'est pour ça qu'on joue entre nous, on partage un petit peu les petits revenus qui viennent de la Coupe du monde entre nous.
- Donc là, on arrive à une certaine limite.
- Donc toutes les fédérations sont en souffrance et puis je crois qu'on n'a pas d'autre choix que d'échanger de modèle.
- Et donc dans mon programme, c'est ce que je présente effectivement et ça plaît beaucoup, j'ai beaucoup de soutien.
- C'est ce que je fais tous les...
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