Retranscription des premières minutes du podcast :
- Les invités du jour, bonjour, il n'a pas pu s'empêcher, Thierry Feston, Lisa Azuelos, merci d'être avec nous pour parler de votre documentaire My Way, c'est bien plus qu'une simple chanson, vous avez réalisé tous les deux ce documentaire qui retrace l'histoire incroyable de cette petite chanson au départ, chansonnette, c'était comme d'habitude et qui a été refusée d'ailleurs au départ par tout le monde, oui c'est ça, donc c'est ça qui est fou en fait, et Claude François un peu énervé, ne voulait pas que ce soit Dalida ou que ce soit quelqu'un d'autre de toute façon, il s'est aperçu que Jacques Revaux qui est le compositeur de la chanson, qui est toujours vivant, et que Jacques Revaux en fait commençait à faire des succès avec d'autres artistes, notamment Alidé, Sardo et tout ça, et en fait lui n'aimait pas trop que des succès aillent chez les autres et donc il préemptait un peu les compositeurs, les auteurs, au cas où, et donc il lui a fait écouter même deux trois fois la mélodie, comme d'habitude, avant qu'il l'apprenne et qu'il mette ses paroles dessus, mais avant il y a une étape assez incroyable, c'est que en fait Jacques Revaux se dit aujourd'hui, enfin à l'époque, les chansons, toutes les chansons sont des adaptations de chansons américaines, donc il se dit je vais la faire en américain, en anglais, les artistes français ne prenaient que les chansons du billboard américain, les chansons français faisaient des fausses chansons anglaises pour les refourguer après aux artistes.
- Et donc il va voir David Bowie, et là qu'est-ce que fait David Bowie ? Il fait une chanson qui n'est pas terrible.
- Non, en fait c'est des yaourts.
- Moi je l'aime bien quand même, Only the fools.
- Oui, Learn to love.
- Ça c'est la deuxième partie.
- Oui, ils font des textes, mais vraiment qu'ils écrivent sur un bout de table avant de les enregistrer, comme ça les compositeurs français reviennent.
- Avec la maquette, en disant tiens t'as vu ça, ça marche bien en Angleterre.
- Il aurait pu avoir un succès incroyable en fait, il est passé à côté d'un...
- Il en a eu quand même un petit peu.
- Il en a eu un petit peu, mais après on va dire que ça ne l'a pas empêché.
- Mais il faut regarder le doc parce qu'on voit après pour se venger en quelque sorte.
- Il a fait quelque chose pour se venger, il y a une chanson de lui qu'on connaît très bien.
- Maxence Mars.
- Il était un peu inspiré de...
- Un petit peu, mais quand on le voit bien dans le doc.
- Mais on le verra ce soir à la télévision.
- Voilà, et c'est Paul Anka en fait qui donne la vie américaine à cette chanson.
- Il faut quand même redire les chiffres, 4000 reprises.
- C'est chanté toutes les 8 minutes dans le monde.
- Ça a été traduit dans 160 langues.
- Et le nom, on l'a dit tout à l'heure, de la chanson...
Transcription générée par IA