Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Média, les invités du jour.
- On connaît toutes les chansons.
- On connaît toutes vos chansons.
- Parce que ce sont les chansons qui sont...
- Moi, je chante, je m'inspire beaucoup du folklore.
- Et le folklore, c'est évidemment des inconnus qui ont écrit ça.
- Mais c'est à la force que les arbres, les vieux arbres, c'est indestructible.
- Les chansons du folklore ont une force que les chansons contemporaines n'ont pas.
- Ce soir, à ne pas manquer, c'est aussi sur la plateforme France.tv.
- Parce que 23h25, j'avais envie de vous demander pourquoi 23h25.
- Parce qu'on suivait un peu l'actualité d'Hugues.
- Parce qu'il y avait juste cette case pour être à peu près dans les temps.
- Mais la plateforme fait qu'on rattrape.
- Oui, la plateforme fait qu'on peut regarder.
- Mais moi, j'ai passé un moment formidable.
- C'est déjà en ligne.
- L'éternel jeune homme.
- Donc, c'est la carrière du gaufret avec énormément d'entretiens avec Mireille Dumas.
- Vous êtes replongée dans vos archives.
- Alors, vous me racontiez, je fais une parenthèse sur ce que représentez, parce que vous avez fait un peu de ménage.
- Archive en termes de volume.
- Oui, c'est impressionnant.
- Je disais à peu près la longueur d'une piscine de 25 mètres.
- Vous voyez, avec la profondeur.
- C'était impressionnant.
- J'ai regardé ça pendant des années.
- Donc, vous avez des interviews.
- Vous aviez réalisé certaines interviews déjà avec Hugo Frey.
- Et puis, vous avez retourné.
- Vous êtes retourné chez lui.
- À Marly.
- Et on voit pour la première fois.
- Je pense que c'est la première fois.
- C'est la première fois que vous vous exprimez sur votre compagne, votre femme, Muriel.
- Avec deux ailes.
- Comme les anges.
- Voilà.
- Et c'était important pour vous que ça apparaisse dans votre vie.
- Mireille Dumas a ouvert la porte que d'autres n'ont ignorée.
- Personne ne m'a jeté méchamment.
- Mais les gens m'ont ignoré beaucoup dans les médias.
- Mireille s'est arrêtée à côté de moi.
- Elle m'a fait parler pendant des heures.
- Beaucoup trop longtemps, certainement.
- Mais moi, je suis bavard.
- Si on nous racontait ma vie, elle est forcément un peu longue.
- Parce que, voilà, je n'ai pas 40 ans.
- Et donc, grâce à elle, aujourd'hui, le parler vrai, en ce qui me concerne, c'est le moment.
- J'ai des choses que je peux raconter que je ne pouvais pas dire avant.
- Mais vous n'avez pas eu peur de parler de vos infidélités ? Parce que pour ceux qui vont voir le documentaire...
- Je n'ai jamais été infidèle.
- Jamais.
- De ma vie.
- Je vais vous expliquer.
- Vous étiez un moment avec deux femmes.
- Non, ça c'est faux.
- Explication.
- J'ai connu Muriel.
- J'étais effectivement marié et père de famille.
- Avec des problèmes financiers compliqués.
- Parce que j'avais fait des mauvaises affaires avec des mauvais associés.
- Et j'avais perdu beaucoup d'argent.
- Il fallait que je continue à travailler.
- Et à mon âge, le métier de...
- Chanter, d'aller chaque jour dans une ville différente.
- Les hôtels, les bagages, les trains, les avions, c'est très fatigant.
- Et à un moment donné, ma femme qui était Hélène, la mère de mes enfants, qui avait commencé à avoir un certain âge.
- Les enfants grandissaient, devenaient adultes.
- Tout d'un coup, tout ça, ça ne fonctionnait plus très bien.
- Elle ne voulait plus vous suivre.
- Vous vous retrouviez tout seul dans votre chambre d'hôtel.
- J'ai demandé même à ma fille Charlotte, est-ce que tu ne veux pas venir avec moi t'occuper...
- De la loge, etc.
- Bon, je n'avais pas les moyens d'avoir une secrétaire, ou un secrétaire, ou un chauffeur.
- Donc tout ça, c'était un peu compliqué.
- Puis le hasard, le hasard, le hasard.
- Qu'est-ce que c'est que le hasard ? C'est le destin.
- Et le destin a voulu que je rencontre Muriel.
- C'était un coup de foudre.
- Elle était jeune.
- Elle est jeune.
- Elle était très jolie.
- Et d'un seul coup, j'ai dit...
- J'ai eu l'impression de vivre la chanson que chantent Cabrel, Les Passantes.
- Ah ! Je l'ai vu passer dans ma vie.
- J'ai dit, non, un chien.
- Mais est-ce que...
- J'aimerais bien connaître cette fille, mais comment faire ? Parce que je ne suis pas un homme à aller aborder une femme pour lui dire vous êtes belle, je voudrais vous épouser.
-...
Transcription générée par IA