Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio Média, l'invité du jour. Allez, l'invité du jour, c'est Paul Perret, le chef qui fait partie du jury de top chefs, 16e saison qui démarre ce soir sur M6.
- Gilles Gansman prend déjà la parole. Ben oui, excusez-moi, mais au-delà du jury, c'est qu'ils ont des équipes, en fait. Ils ont chacun ce qu'on appelle une brigade.
- Et donc c'est plutôt chef de brigade. Après, ils jugent certains plats, mais c'est surtout où ils ont chef de brigade.
- Comment vous les choisissez, d'ailleurs, vos cuisiniers de la chef de brigade ? Quand vous les sélectionnez, qu'est-ce que vous allez chercher chez un chef ? Alors c'est jamais facile, parce qu'en fait, ça se joue assez rapidement sur une émission. Il y a des signes qui ne trompent pas par rapport à ce qu'on aime.
- Et on a tendance quand même à aimer tous un petit peu les mêmes choses aussi. La façon de travailler, en fait.
- La rapidité avec laquelle ils travaillent, la propreté avec laquelle ils travaillent, l'organisation, la gestuelle qu'ils ont.
- Alors quelquefois, on peut se tromper, parce qu'on a justement sur Top Chef, et c'est ce qui fait la richesse de Top Chef, on a des candidats qui n'ont pas de formation classique, qui travaillent de façon très différente, mais qui ont un véritable niveau d'inspiration qu'on va découvrir par la suite.
- Donc il faut avoir une espèce... Idéalement, il ne faut pas nacher, avoir un très bon technicien dans l'équipe et avoir un électron libre. Ça, c'est l'idéal.
- Mais après, comme...
- Quand on choisit le même, ce qui arrive souvent, on se retrouve à faire un duel en face du candidat, c'est toujours embêtant.
- Top Chef, c'est 21h05, ce soir sur M6, bande-annonce, extrait.
- Moi, j'étais le gamin qui regardait du coin de l'œil Top Chef.
- J'ai vraiment cette obsession de me dire, un jour, tu seras dedans, quoi.
- Je marche au plaisir de faire plaisir.
- Je le veux, quoi. Je veux dans mon équipe.
- Mon chef trois étoiles, c'est ma dos, ma grand-mère.
- C'est pas mon goût.
- T'es relou, toi.
- Je suis venu ici pour me challenger.
- Tu penses que tu vas me battre ou que tu peux me battre ? Les deux.
- Tu préfères gagner, quand même.
- C'est ça, allez ! C'est magique.
- C'est un ovnis, ce mec.
- Les gars, vous êtes chauds ou pas ? T'es sûr de toi, là ? Je suis sûr.
- T'es sûr ? Oui, je suis sûr.
- Je veux vraiment leur montrer c'est quoi ma vision, c'est quoi mes idées.
- Top Chef, nouvelle saison, mercredi à 21h10 sur M6.
- Olber, j'ai envie de vous poser la question, on vous la pose tout le temps.
- Pourquoi est-ce que cette émission fait autant...
- rêver ? Quels sont les ingrédients du succès de Top Chef, au fond ? Je crois que c'est d'avoir quelque part rendu comme ça la cuisine intéressante au point où elle peut l'être.
- Et de voir un petit peu ce qu'est la réalité du métier de cuisinier de façon un petit peu compressée.
- Mais je sais pas, cette valeur, on peut travailler...
- Je trouve toujours, on revient un peu toujours sur les mêmes arguments, mais que la grande qualité de l'émission, c'est cette espèce de valeur, du travail, de l'artisanat, de la passion qu'on peut y mettre, de l'implication que les candidats y mettent.
- Et voilà, je pense que les gens sont toujours prêts à s'embarquer quand on voit des gens qui sont passionnés.
- Qui a gagné ? Alors, je peux vous le dire, c'est moi cette année.
- C'est vous qui gagnez cette année.
- Bien sûr qu'on ne sait pas qui a gagné.
- C'est ma question. Chaque année, je pose au chef qui a gagné.
- Et la réponse est toujours la même.
- Non, vous savez qu'une fois, je me suis fait avoir par Philippe Etchebest.
- Hein ? Oui, parce que, une fois que le métier est terminé, Oui, parce que, une fois que le métier est terminé, le micro a été fermé, je lui ai dit « Ah, j'aime bien tel. » On était déjà avancés dans l'aventure.
- Et il m'a dit « C'est un tel qui gagne. » Et ce n'était pas la...
Transcription générée par IA