Retranscription des premières minutes du podcast :
- L'invité du jour c'est Théo Curin, on est ravis de vous avoir ce matin pour parler des Jeux Paralympiques évidemment.
- Vous avez été vu, nous disait votre producteur, par plus de 500 millions de personnes, ça met la pression ? Ça fait bizarre, oui, ça met la pression. J'avais peur de tomber dans les escaliers, j'avais peur de ne pas respecter les timings qu'on m'annonçait dans l'oreillette.
- Donc beaucoup de stress, mais je suis très content parce que j'ai réussi à prendre beaucoup de plaisir, c'est ce que je dis.
- Parfois on est tellement stressé et bloqué par les émotions qu'on ne vit pas vraiment le moment présent à fond.
- Et là non, si, j'ai pris un shoot d'adrénaline quand je suis monté en haut des marches.
- Vous vous êtes revu ? Vous avez revu les images ? Oui, j'ai revu pas mal de fois, surtout le passage quand je dis « Welcome to Paris » parce qu'elle a été reprise.
- J'ai revu les images pas mal de fois, cette image, et ça fait bizarre.
- Et puis vous êtes là pour parler de Slam, Slam sur France 3, vous avez raconté le casting.
- Qu'est-ce que ça fait de devenir animateur d'un jeu comme celui-là ? Vous avez hésité ou pas ? Vous vous êtes posé la question avant de passer le casting ? Non, parce que ce que je n'ai pas dit tout à l'heure, c'est que je me suis préparé au casting comme un dingue, mais en me disant que dans tous les cas, c'est une belle expérience.
- C'est une belle expérience, ce que je vais vivre.
- Je n'avais jamais participé à un casting pour de l'animation à la télévision, donc je me disais que dans tous les cas, c'est une découverte, je vais apprendre et c'est une expérience.
- Et quand on m'a annoncé que c'était moi, évidemment que j'ai sauté de joie parce que c'était un rêve d'enfant d'animer un jeu.
- J'ai eu la chance depuis plusieurs années de progresser chez France Télévisions avec de nouveaux programmes petit à petit.
- Et en fait, là, c'est encore autre chose.
- C'est de l'humeur.
- Il y a des candidats, il y a du public et les téléspectateurs sont nombreux.
- Donc oui, c'était un rêve qui est devenu réalité.
- Et je prends maintenant beaucoup, beaucoup de plaisir à chaque tournage.
- Mais vous étiez habitué à travailler en Ehpad ? Écoutez, non, franchement, franchement, j'ai été très, très surpris par ça.
- Parce que forcément, la moyenne d'âge des téléspectateurs est quand même assez élevée parce qu'on est à 17h25 l'après-midi.
- Donc il y a encore beaucoup de plaisir.
- Il y a encore beaucoup de personnes au travail.
- En revanche, les candidats, on en a des très jeunes.
- J'en ai eu déjà plusieurs de 18 ans, de 20 ans sur cette première séquence de tournage.
- Et puis on a une moyenne d'âge quand même pas hyper vieille non plus.
- Donc c'est agréable, il y a de tout.
- Vous vous rendez compte que vous n'avez démarré que lundi et qu'on a l'impression qu'on vous interview et que c'est vous qui avez fait Slam depuis des années.
- Est-ce que c'est assez étonnant d'avoir un animateur qui est tout de suite habitué...
- Qui est à l'aise dans un programme et qui n'a pas...
- On dit bon, c'est les premiers jours, on va voir ce que ça donne.
- Et là, vous, vous êtes tout de suite dedans.
- Moi, j'ai regardé celle de lundi avec Valérie.
- On s'est envoyé des SMS.
- Vous êtes incroyable dedans.
- Merci beaucoup.
- Après, les premières émissions ne sont évidemment pas les meilleures parce que j'avais un peu de mal à gérer la mécanique, le stress, la rapidité des candidats.
- Parce que les candidats qu'on a dans cette émission, je peux vous assurer que...
- Ce sont des machines de guerre.
- Ils sont impressionnants.
- Ils réfléchissent vite.
- Ils buzzent dans tous les sens.
- Donc ça, c'était assez difficile à gérer au début.
- Et je dirais qu'à partir de la semaine prochaine, les émissions seront peut-être un peu mieux gérées de mon côté.
- Même si là, même dès la première semaine, je pense qu'on peut remarquer une petite progression.
- Vous en enregistrez combien à la...
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