Retranscription des premières minutes du podcast :
- Les invités du jour, ils sont deux. C'est un couple. Flavie Flamand, Julien Arnaud, bonjour. Bonjour.
- Bonjour à vous deux. Un autre couple. Bonjour. Un autre couple. Mais où sont les croissants, les pains au chocolat ? On les a mangés. On les a avalés. Pourtant, vous dites que vous faites gaffe aux croissants. On fait super gaffe. Sinon, on aurait déjà prédiqué l'eau, je peux vous dire, parce que tous les matins...
- Ça fait 15 jours que vous êtes tous les deux aux commandes de la matinale de France 2, absolument, Télématin. Et donc on est ravis de vous recevoir après 15 jours de cet exercice.
- Julien, vous étiez sur LCI. Depuis combien de temps ? Depuis... J'étais dans le groupe TF1-LCI depuis 27 ans.
- Donc ça a été une drôle de décision à prendre, j'imagine, pour vous. C'était une décision, oui, très très importante. Et évidemment, c'est une page de ma vie professionnelle qui se tourne, mais qui n'a pas été si difficile que ça à prendre, parce que quand on vous propose un programme comme Télématin, qui est une aventure géniale, une émission emblématique, avec une équipe formidable, à la fois sur le plateau et backstage, je me suis posé la question un petit peu au début. Je me suis dit « Est-ce que t'as envie de te réveiller à 3h ? » Et puis, effectivement, de changer de boutique comme ça, parce que c'est pas anodin. Et j'ai pris la décision, en réalité, assez vite. Et à partir du moment où je l'ai prise, j'étais absolument sûr de mon choix. J'étais super excité. J'avais envie de commencer. Et je regrette pas du tout ce choix que j'ai fait. C'est quand même dingue qu'on nous propose, qu'on me propose, à 50 ans maintenant, alors qu'il y a plein de gens qui me disaient « Mais tu changeras jamais. De toute façon, t'es tellement identifié à TF1. » « Tu bougeras jamais. » Et moi, je me suis jamais reconnu là-dedans.
- Parce que vous étiez le joker du 20h, de Gilles Boulot.
- Mais là, vous devenez le joker de Laurent Delahousse. Est-ce que ça a pesé dans la balance ? Alors, je vais présenter des journaux sur France 2. On sait pas encore exactement lesquels. Ça, ça va se décider dans les jours et dans les semaines qui viennent.
- Non, je suis sûr. Et oui, bien sûr que ça a pesé dans la balance. Moi, présenter le journal est un exercice que j'adore. C'est un exercice collectif.
- On le voit pas à l'antenne. Mais en réalité, c'est toute une rédaction qui bosse.
- Et c'est des échanges intellectuels toute la journée que j'adore. Et c'est sûr que de faire Télé Matin, plus de continuer à faire des journaux et de rencontrer une nouvelle rédaction avec des nouveaux journalistes, m'intéresser à des nouveaux process, des nouvelles façons de faire, de nouvelles équipes, franchement, c'est quand même super excitant professionnellement.
- Alors Flavie, vous, la décision, elle s'est faite comment...
Transcription générée par IA