Retranscription des premières minutes du podcast :
- L'invité du jour c'est Laurent Gérard, on est ravis de le recevoir, nos auditeurs aussi, ils vous aiment, ils sont contents de vous avoir et j'espère qu'ils viendront au Casino de Paris du 27 novembre, donc c'est mercredi prochain, jusqu'au 4 janvier.
- Ça c'est à Paris mais vous êtes en tournée dans toute la France, vous avez déjà bien rodé ce spectacle, Laurent Gérard se met à table avec un décor de restaurant, de cuisine.
- Il y a des fourneaux, il y a un piano comme en cuisine, il y a deux pianos.
- L'interruption, vous l'avez dit, il y a eu deux ans d'interruption et le spectacle est entièrement nouveau.
- Ben oui, je dis que c'est une nouvelle recette et plat signature.
- C'est vrai, il y a des...
- Ben oui.
- C'est une nouvelle carte et plat signature parce qu'il y a des...
- Il y a des choses qu'on vous réclame, enfin qui sont des cartons.
- Par exemple, je fais Zitrone mais je l'ai adapté parce qu'on me le réclamait.
- Ah, vous réclame Zitrone ? Oui.
- Ah, vous ne vous dites pas...
- Parce que vu ce que vous commentez, ça aurait pu être Stéphane Bern puisque vous commentez la royauté anglaise.
- Oui, mais le sketch avait marqué, ça me donne l'occasion de parler un peu de la politique internationale, en tout cas avec des invités un peu internationaux.
- Et puis, je fais des petits clins d'oeil, oui.
- C'est Patrick Sébastien, voilà, des petites choses pour se lire expert, comme on va lire expert bien, le plus sur Patrick Sébastien.
- Ah ben oui, moi, je veux mon Patrick Sébastien, absolument, il y a Jack Lang qui est là, Sarkozy et Hollande.
- Hollande entièrement muet, je le fais comme dans un film muet, je suis un fou des films muets, j'ai vraiment fait avec des panneaux un Hollande.
- Comme dans les films...
- Voilà, c'est ça, comme dans les films muets.
- Oui, et puis surtout, il y a une lumière incroyable, c'est-à-dire que pour avoir vu des extraits, c'est vraiment...
- une lumière où vous êtes en noir et blanc, y compris sur scène, c'est... enfin voilà, c'est vraiment très bien fait.
- C'est un peu comme l'Histoire sans fin qu'on voyait sur TF1, c'est avec la voiture, l'Histoire sans parole.
- Vous êtes plus professionnel des trucs de 1983.
- Oui, de télé, oui, l'Histoire sans parole. Mais ça ressemble à ça, en fait.
- Vous écrivez tout seul ? Non, non, non, j'ai beaucoup écrit sur spectacle, là, mais non, non, j'ai...
- Il y a Régis Maillot, il y a des textes de Régis Maillot, il y a Pascal Fioretto et Stéphane Rose qui...
- Qui sont vos auteurs.
- Mes auteurs, à la radio, et puis Jean-Jacques Perroni aussi, il y a même une petite touche de temps en temps.
- Une petite touche d'élégance.
- Voilà, c'est ça. C'est vrai que la grosse structure, j'ai fait de moi et j'ai eu un petit peu de temps pour le préparer.
- J'avais trois heures au départ.
- Alors, il y...
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