Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Média, l'invité du jour. Sud Radio Média, spéciale élection américaine. Ça y est, on est à quelques heures de cette élection qui s'annonce très très serrée entre Kamala Harris et Donald Trump. On verra. On n'aura peut-être pas les résultats très rapidement.
- Non, ça peut prendre plusieurs jours. La dernière fois, ça avait pris 4 jours. Donc il y a 4 ans. Et sur Al Gore, je crois que les décomptes avaient duré 3 semaines. Donc voilà, on va attendre tranquillement. Est-ce que ce résultat vous fait peur par rapport à ce que vous avez vu là-bas ? Par rapport à ce que j'ai entendu et à ce que tous nos reporters ont entendu, c'est-à-dire qu'on a beaucoup entendu de trumpistes qui disaient que si effectivement Donald Trump ne gagnait pas, ils allaient prendre les armes ou qu'ils craignaient eux-mêmes une guerre civile.
- C'est pas forcément eux qui allaient descendre dans la rue. Mais en tout cas, ils craignaient vraiment un vrai désordre. Et ça, moi, je l'ai entendu.
- Les reporters l'ont entendu. Et c'est très présent quand même dans l'émission de ce soir. On l'entend, cette crainte de guerre civile.
- Je pense que personne ne la souhaite, hein, vraiment. Oui, mais si vous le savez, ça veut dire que Kamala et Joe Biden le savent aussi.
- Donc ils ont peut-être pris des mesures... Ah mais c'est impressionnant. Moi, je suis allée à la Maison-Blanche il y a 3 semaines.
- Pour les élections, c'est incroyable, les dispositifs de sécurité. Il y a 3 semaines. Vraiment, c'était déjà un bunker.
- Et c'était rien par rapport à ce que ça l'est aujourd'hui. Là, je sais que demain, en fait, ce soir...
- Sophie Lapique, c'est à New York. Demain, elle est à Washington. Le bureau de France 2 est à 150 m de la Maison-Blanche.
- Le quartier va être archi-bouclé. Ça, c'est évident. Et c'est partout, en fait. Même les bureaux de vote. Là, j'ai entendu qu'il y avait vraiment des bureaux de vote qui étaient protégés par l'armée. Donc vous voyez... Donc c'est vrai qu'il y avait des snipers positionnés. Absolument. En Arizona, notamment.
- Oui. Donc oui, oui, il y a une vraie crainte de débordement. Ça, des deux côtés, je pense.
- Eh oui, je vous ai vu prendre la place du président de la République dans la salle de presse.
- Oui. Enfin j'ai surtout pris... Une photo à selfie, c'est ça ? Oui. Mais j'ai surtout pris... Non, j'ai même fait un lancement du pupitre de la salle de presse de la Maison-Blanche.
- C'était pas que pour un selfie. Mais c'est surtout les porte-paroles qui viennent là. Alors bien sûr, si Kamala Harris est élue ou si Donald Trump est élu, ils viendront et ils prononceront leur premier discours après l'intronisation ou leur première conférence de presse. Plutôt, ce sera là.
- Et c'est une petite salle ou une grande salle ? Mais c'est minuscule. Oui, c'est ce que je me suis dit.
- Mais je suis rentrée. Je...
Transcription générée par IA