Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Média, l'invité du jour. Ben non, il y en a deux. Ce sont les invités du jour. Ils sont deux. Ce sont les chevaliers du fiel avec nous, Éric Carrière et Française Gilibre.
- On va vous retrouver vendredi soir sur C8 pour une fiction inédite, les chevaliers du fiel, Moustique et Planchard. On va en parler dans un instant.
- Déjà, c'est tout un programme. Et puis vous serez en tournée dans toute la France à partir du 18 janvier, c'est ça ? Oui.
- Un peu partout, Toulouse, Montpellier... Oui, la Bretagne, l'Est, le Sud-Est. On n'est pas partout. On fait le tour de France.
- Et Paris. Et Paris, évidemment. 12 et 13 avril, Palais des sports de Paris. Immense salle. Il faut dire que vous remplissez des salles de plus de 5 000 personnes à chaque fois.
- Oui, oui. Ça marche bien. Ça fait des années. C'est dingue. Quand le vent s'est marré... Oui, c'est génial. C'est un miracle.
- Chaque année. Mais c'est un miracle pour lequel on travaille aussi. Et puis les gens, personne ne les oblige à venir. Donc c'est que ça leur plaît.
- C'est que ça leur plaît. On se joue différemment devant 5 000 personnes que dans un théâtre de 800 personnes ? Alors... Au tout début, oui. Au début, oui. Puis maintenant, non. Parce qu'on se fait... Il faut se faire à la grandeur des plateaux.
- Mais il y a des écrans. Il y a des écrans. Ce qui fait qu'en fait, les gens, ils nous voient de plus près que dans un théâtre. Parce qu'il y a des gros plans.
- Et donc on s'est rendu compte que les toutes petites mimiques qu'on ne faisait plus dans les Zéniths...
- Parce qu'on se disait... Bah les gens, ils sont... Eh ben en fait, si. Les gens les voient beaucoup et très bien. Donc bon.
- Oui. Et donc à Paris, ça va être un show différent ? Non. Non. Non, non. Je vous pose la question.
- Non, non, non. C'est toujours le même spectacle, la même mise en scène.
- Ouais. Alors nous, qu'on aille à papeter à Montréal ou à Paris ou à Reims et ou à Toulouse, on joue exactement le même show.
- Le même spectacle. D'accord. Et vous changez pas les textes par rapport à la ville, par rapport au contexte ? Si, on rajoute un peu. Il y a des impros, forcément.
- Par en là.
- Un peu. Ça, c'est sûr que quand on joue à Bordeaux, on les chambre pour le rugby. Ça, c'est sûr.
- Quand on joue à Nantes, on les chambre pour la Bretagne. Bon, évidemment...
- On en profite pour citer le maire de la ville où on joue.
- Voilà. À Bordeaux, par exemple, on parle du sapin en plastique du maire, du maire écologiste.
- Votre aventure, elle a commencé il y a combien de temps ? Trente et quelques années.
- Ah oui.
- Et c'est un humour qui rencontre toujours son public.
- Ouais.
- C'est...
- C'est la chance d'avoir...
Transcription générée par IA