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Sylvain Duthu, Loft Music Sud Radio 22 septembre nouvel album 15h22 Boulevard Des Airs Yvan Cujious
Sylvain Duthu, invité du Loft Music Sud Radio d'Yvan Cujious

Par avec Sylvain Duthu, Popeck

Sylvain Duthu, Popeck


Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- Il faut que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
- Antoine de Saint-Exupéry.
- Bienvenue à vous, qui nous rejoignez ce dimanche sur Sud Radio pour un Loft Musique.
- Avec cette rentrée qui est arrivée il y a quelques semaines.
- Et c'est déjà le 22 septembre, le jour où nous recevons un artiste dont le titre de l'album fait justement référence à cette date.
- C'était prémédité depuis très longtemps.
- Il s'appelle Sylvain Dutu, avec ce premier album solo qui s'appelle précisément 15h22.
- Si j'étais celui, toi tu es la seule.
- Si je reste ici, tu rentres à Bruxelles.
- Si j'étais celui, toi tu es la seule.
- Bruxelles, on écoute ce titre de Bruxelles.
- Boulevard Désert, puisque voilà, Sylvain Dutu a été révélé au grand public, on va dire, par ce groupe magnifique de Tarbé.
- Boulevard Désert, salut mon Sylvain.
- Salut, bonjour à tous.
- Bienvenue à toi.
- Et nous sommes également en compagnie de quelqu'un que tu connais, Sylvain, et que tout le monde connaît, j'allais dire, parce qu'il fait partie vraiment du patrimoine de l'humour français, en tout cas des artistes français.
- Et qu'on a tous à un moment donné croisé un des sketchs de celui qui est à côté de nous et qui s'appelle Popec.
- Non, ce n'était pas le radeau de la méduse, ce bateau qu'on se le dit...
- Belle illustration de cette présentation de Popec. Merci d'être avec nous, Popec.
- Oui, c'est moi, merci.
- On le disait juste à l'instant, Georges Brassens est à une place particulière dans vos goûts musicaux, Popec ? Brassens a été... Je l'écoutais quand j'avais l'âge de 15 ans, alors qu'il était interdit sur les ondes.
- Et on le passait sur une...
- Radio concurrente à vous ? Amis, amis, oui.
- Amis, à 2h du matin.
- D'accord, d'accord.
- Donc moi je l'écoutais sur un poste à Galène.
- D'accord, oui, oui, ça remonte à quelques années.
- Je n'avais pas les moyens d'avoir un poste.
- C'est étonnant parce qu'on vous attend avec l'accent, on vous entend parler avec l'accent, alors qu'il n'est pas l'accent de Popec.
- L'accent, c'est payant, là je viens gratuitement.
- J'adore.
- Vous nous confiez, juste avant de démarrer l'émission, qu'il y a peu de temps que vous assumez, finalement, votre vrai nom, votre vrai patronyme.
- Oui, c'est vrai.
- J'ai toujours détesté mon prénom parce que...
- Mon prénom, c'est Yotke.
- En français, ça se prononce et ça s'écrit Jutka.
- Et à l'école, les copains m'appelaient Jutka, Jutkaka.
- Oui, évidemment, je le voyais venir.
- Je le revendique aujourd'hui comme on revendique ses racines parfois longtemps après.
- Oui, et pourquoi si longtemps après, précisément ? Je raconte ça dans mes spectacles.
- Je raconte quelques phrases, mais je n'ai pas envie de...
- Je suis venu ici pour faire rire, pas pour faire pleurer.
- Oui, ça ferait pleurer, donc.
- Et le but, en fait, de votre travail, c'est certainement de résilier tout ça, de sublimer les choses tristes.
- Je sais que depuis...

Transcription générée par IA

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