Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- Quand on est ivre, on dit la vérité, mais personne ne vous croit.
- Françoise Sagan.
- Merci, bon dimanche à vous, merci d'être avec nous sur Sud Radio pour ce Loft Musique qui reçoit cet après-midi pour vous deux artistes qui ne se connaissaient pas juste avant d'être rentrés dans ce studio et qui vont faire connaissance, comme vous allez le faire certainement avec l'un des deux artistes, l'une des deux artistes.
- Également en fin d'émission, première de la série, le maestro Pascal Gallet sera avec nous pour vous emmener ces lumières de pianiste-concertiste et son analyse quelque peu décalée de certaines périodes de la musique ou de certains styles.
- Le maestro Pascal Gallet sera avec nous tout à l'heure.
- Et pour démarrer, nos invités.
- Il y a quelqu'un que vous connaissez puisque le titre, que vous allez découvrir tout de suite, va immédiatement vous rappeler son nom.
- Mais je vous le dis quand même, Yuri Buenaventura ! Merci d'être là mon Yuri, on ne se quitte plus du coup.
- C'est très bien.
- On a enregistré l'émission de télé la semaine dernière pour rien vous cacher avec Yuri et c'était très agréable.
- Sur vos écrans, c'était dans la maison de Claude Nougaro et ça passera sur France 3 prochainement.
- Également une jeune artiste que j'ai découverte il y a peu de temps au festival du Verbe de l'amie Guy Canegarn, quelque part dans le Cominge à Martre-Tolozane.
- Elle s'appelle Mimi Tchè.
- Un jour quand le monde s'arrêtera, j'irai boire un café chez toi.
- Mais là, pour l'instant, j'ai pas le temps, mais je le prendrai.
- On va écouter des extraits de son album.
- C'est un album et un live d'ailleurs qu'on aura tout à l'heure pendant cette émission.
- C'est d'ailleurs un live que tu nous proposes.
- Ce monde que tu as enregistré en public donc aux bijoux, cette jolie salle toulousaine, on va en parler avec toi.
- Merci d'être avec nous Yuri, Yuri, cet album Amame.
- On dit comme ça mon Yuri ? Amame.
- Finalement, montre toute la passion que tu as pour la salsa.
- Voilà, qui est finalement...
- Qui t'a fait...
- Alors, qui t'a pas amené en France, mais qui t'a fait rester en France quelque part.
- Oui.
- C'est ça en fait, parce que tu viens en France à l'époque pour faire des études de commerce.
- Des sciences économiques, oui.
- Voilà, et tu joues dans le métro, la musique de ton pays, de la Colombie, et puis tout d'un coup tu te fais remarquer, et tu ne quittes plus la France, en tout cas ça s'enchaîne, et puis il y a Ne me quitte pas, cette espèce de carton qui inonde les ondes, et tu restes parce que tu amènes cette salsa chez nous.
- Oui.
- En fait, je suis venu faire des études, mais je n'avais pas de permis de travail.
- Oui.
- Donc je ne pouvais pas aller chercher un travail.
- Oui.
- Mais l'argent ne suffisait pas pour payer la chambre...
Transcription générée par IA