Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- Éduquez les enfants et il ne sera pas nécessaire de punir les hommes.
- Pythagore.
- Ça commence fort, ce début de nouvelle année impose de nouvelles dispositions.
- Donc éduquez vos enfants, ça sera le signe de ce début d'année.
- Merci d'être avec nous, c'est le musical de Sud Radio, le Loft Musique, qui accueille aujourd'hui, pour son deuxième album, qui est sobrement intitulé « Deux », Camille Lelouch.
- Également dans le Loft, un Toulousain tient pour son premier album à lui.
- Demain est annulé, il s'appelle Chachinoir.
- En fait, il s'appelle Félix, mais on va en parler, c'est un peu compliqué.
- Et puis également avec...
- Avec nous, pour parler de Motorhead, ce groupe de...
- Alors, appelez-le de rock, simplement, on va dire...
- On va en parler plus en détail avec lui, Julien Deléguise.
- Un ouvrage paru aux éditions du Layer, voilà, de 2,5 kg, et qui, à travers la discographie de ce groupe mythique, voilà, explique l'histoire aussi du rock, plus généralement, et puis de toute cette lignée, après Motorhead, et de cette musique, quand même assez singulière, qui crée des passions et des addictions, même.
- On en parlait tout à l'heure avec toi, Julien Deléguise, Camille Lelouch.
- Là, vous vous connaissiez, tous les trois ? Non, pas du tout.
- C'est l'occasion.
- De tout.
- C'est l'idée de cette émission, justement.
- Super.
- De faire des connaissances, de faire rencontre.
- Deuxième album, Camille.
- Après ce bouleversement qui est arrivé dans ta vie, par la rencontre de Grand Corps Malade, par ce titre, voilà, notamment, qu'on a écouté tout à l'heure, « Mais je t'aime », et puis tout ce que ça a véhiculé, comme chamboulement, j'allais dire, aussi peut-être comme bienveillance, comme douceur.
- Qu'est-ce que ça a changé, finalement, cette rencontre avec Grand Corps Malade, Camille ? C'était surtout un duo qui était, comment dirais-je, à la fois inattendu et à la fois...
- Et à la fois, en fait, ça nous dépasse encore, je pense.
- Oui.
- C'est une valse que j'avais écrite cinq ans avant, en ex.
- Et puis, tout ce que vous entendez de mes paroles, c'est des paroles qui existaient déjà.
- Et c'est une chanson que j'avais mise dans un tiroir, et j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose.
- Ce n'était pas quelque chose, c'était quelqu'un.
- Et du coup, je l'ai proposée à Grand Corps Malade, et il m'a dit « Tu touches à rien, je vais juste te répondre ».
- C'est devenu le « Mais je t'aime » que tout le monde connaît.
- Donc, c'est vraiment...
- Je suis toujours hyper surprise, parce que c'est quand même une valse qui a été sur toutes les radios, alors que, normalement, on ne passe pas vraiment de valse en radio.
- Non, c'est ça.
- Et puis, c'est dans une esthétique, effectivement, qui n'est pas super d'actualité, a priori.
- Et puis, tout d'un coup, ça devient quelque chose de très fort.
- C'est pour qui, pas actuel ? Parce qu'il y a un formatage qui fait que...
- Oui,...
Transcription générée par IA