Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cujus.
- Gardez bien dans vous ce trésor, la gentillesse. Sachez donner sans retenue, perdre sans regret et acquérir sans mesquinerie.
- Georges Sand.
- C'est la petite pensée du jour pour ouvrir cette émission musicale que je suis ravi de vous présenter, de vous proposer et d'accueillir pour vous des artistes qui quelquefois ne se connaissent pas avant d'entrer dans ce studio et puis voilà, qui restent amis, quelquefois amants, mais ça, ça ne nous regarde pas.
- Merci d'accueillir celui qui est régulièrement invité dans ce Loft et qui vient nous parler de cette tournée magnifique qu'il amènera notamment à la salle Pleyel et partout en France. Il s'appelle Yuri Buenaventura.
- Merci beaucoup.
- Ce titre emblématique qui a fait découvrir Yuri Buenaventura au grand public français qui a été pour lui évidemment un bouleversement dans sa vie et puis une rencontre d'amour avec Paris, avec la France et qu'on aime entendre raconter dans ta bouche avec ton merveilleux accent, mon Yuri Buenaventura.
- Merci d'être là.
- Elle est amoureuse de Paris aussi.
- Son nom de scène le prouve.
- Elle a une carrière assez exceptionnelle, incroyable.
- C'est vraiment un personnage haut en couleur et hors du commun que nous recevons.
- Vous la voyez un petit peu partout sur tous les écrans en ce moment et on l'accueille pour la partie musicale.
- Elle s'appelle Hélène in Paris.
- Ferrari, faire l'affaire, l'affaire, l'amour Dans l'affaire, la Ferrari Bonjour Hélène.
- Bonjour.
- Merci d'être là.
- Je montre à la caméra ce vinyle, cet album qui est co-écrit avec Bertrand Burgala, avec Marc Lavoine.
- Et Léonard Lasserie.
- Et Léonard Lasserie, voilà, qui s'appelle Jamais dire jamais, aux accents des années 70, de ce décalage, de tout cet univers qu'on devine et puis de ce souci.
- De la beauté, de l'esthétique, parce que...
- Très important.
- C'est le départ de votre vie, la première partie de votre vie, en tout cas ce parcours qui vous amène à New York, à Londres...
- À Los Angeles.
- Et qui fait que vous cartonnez dans le business de l'artisanat, de la décoration, de l'architecture d'intérieur.
- Oui, partout.
- Et qui aujourd'hui vous ramène à Paris et vous fait embrasser une nouvelle carrière.
- C'est le confinement qui a décidé autrement.
- J'ai pas choisi la chanson.
- Et j'ai commencé à faire des postes rigolos, sur Insta, pour amuser mes amis.
- Tout le monde était déprimé.
- Et puis un jour, j'ai décidé de chantonner sur une vidéo.
- C'était nul.
- Je chantais très mal.
- Et puis les gens ont adoré.
- Ils ont adoré le package.
- Et c'est là où j'ai commencé à prendre des cours de chant.
- Et tous les jours.
- Donc j'ai eu un confinement très occupé.
- Mais c'est génial.
- Et puis c'est une vie merveilleuse.
- Voilà, faite que de plaisir, en fait.
- Et d'envie, de désir qui se réalise.
- Je me fais plaisir, donc je fais plaisir aux gens.
- Eh bien, c'est bien.
- Eh bien, Arnaud, qui est à côté de vous, fait la même chose.
- Il se fait plaisir, mais il fait plaisir aux gens.
- Il est musicien.
- Il est amateur de jazz, notamment.
- Il a monté un très beau lieu à Paris, dont on va parler.
- Et dont le parrain est cet artiste-là.
- Comme un manouche sans guitare.
- Comme un château sans la loi.
- L'ami Thomas Dutronc était ici.
- Il n'y a pas longtemps à ta place, mon cher Arnaud.
- C'était.
- Merci d'être là.
- Pour parler de ce lieu, le son de la terre.
- Et ça nous permet aussi de parler des lieux, des petits lieux qui encore ouvrent la scène pour que les gens viennent jouer, sans être dans des grandes salles, qui gardent la proximité.
- Ce n'est pas une aventure facile.
- En tout cas, qui fait partie des lieux que tu remontais à Paris.
- Et qui est une péniche, le son de la terre, qui est exactement située où, Arnaud ? C'est vraiment au pied de Notre-Dame.
- C'est vrai que l'aventure a commencé avec le Marcounet, en 2012.
- Notre péniche sur la scène aussi.
- On a appris de nos erreurs.
- Et on a voulu mettre un petit peu plus en valeur les musiciens.
- Donc on a une superbe programmation.
- Tu vas nous en parler, évidemment.
- Du...
Transcription générée par IA