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Par avec Thomas Elexhauser, Baptiste Fournier, Brice Nkonda, Patrick Vignal

Emission du 10 septembre


Au programme: le tour de table de l'actualité avec Thomas Elexhauser, Baptiste Fournier, Brice Nkonda et Patrick Vignal
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sous-titrage Société Radio-Canada Sous-titrage Société Radio-Canada Pour le moins maladroit, je vais être gentille avec lui dans ses propos, me semble-t-il.
- La réforme des retraites et puis ce matin, un article dans Le Parisien qui, suite à une enquête, nous apprend que les jeunes ne mettent plus de préservatifs et qu'il y a un vrai problème sur l'éducation à la sexualité.
- Tous ces sujets, vos coups de cœur et vos coups de gueule. On va commencer avec vous, Thomas, avec un coup de cœur.
- Oui, bonjour Valérie.
- Un coup de cœur pour la France.
- La France qui gagne, la France qui exporte.
- On a eu dimanche soir une démonstration de ce que le génie français peut aussi faire en termes de musique et en l'occurrence de musique électro.
- La presse du monde entier a salué cette cérémonie.
- Le journal Bild a dit que la barre était très haute pour les Américains.
- The Guardian a évoqué une clôture qui fera date.
- Et je pense qu'on peut aussi se réjouir de ces artistes, de ce génie français, de ce qu'on appelle la French Touch.
- Déjà à l'occasion de la clôture des Jeux Olympiques, Shazam avait battu tous les records de son histoire.
- Shazam, c'est l'application qui permet de reconnaître les musiques écoutées.
- Et le tube Nightcall avait battu tous les records sur une journée de la musique téléchargée.
- Et nous avons eu ce spectacle magnifique de tous ces grands DJ, musiciens, compositeurs, de Jean-Michel Jarre à BreakBot en passant par Kungs, et qui ont donné une très belle image de ce que la France a.
- Et que la France sait faire danser le monde entier sur ces tubes.
- Donc il y a à la fois le génie économique, industriel, scientifique, mais il y a aussi le génie artistique de cette France qui exporte, qui gagne, de cette French Touch.
- Et donc je me réjouis de voir toutes ces rédactions étrangères saluer ces forces françaises et cette magnifique clôture de cette parenthèse olympique.
- Oui, moi je fais mon mea culpa, je peux le faire tous les jours.
- Je faisais partie des...
- des peines à jouir, des gna gna gna, je ne pensais pas que ces jeux pourraient être réussis.
- Et force est de constater que c'est un immense succès.
- Je ne sais pas comment vous avez vécu ça, Brice ? Et vous êtes d'accord avec Thomas ? Moi je suis réjoui que mon interlocuteur soit réjoui déjà, c'est un point important.
- Non, je pense qu'effectivement, on a su à travers les Jeux olympiques et paralympiques montrer tout le savoir-faire français.
- J'étais un peu comme toi Valérie, c'est-à-dire que j'étais un peu rabat-joie sur le sujet, je pensais qu'il allait y avoir des couacs.
- Force est de constater que ça a été un grand succès.
- Je pense que ça s'est plutôt bien déroulé, qu'on a donné une belle image.
- Après, je n'oublie pas non plus que ça ne reste qu'une parenthèse enchantée.
- Je ne me satisfais pas en tant que responsable politique et aussi en tant que chef d'entreprise.
- En fait, moi ce que j'aimerais, ce soit la joie toute l'année.
- Et là, on a effectivement refermé la parenthèse et on s'aventure vers des environnements et des dynamiques politiques qui sont un petit peu plus complexes.
- Donc voilà.
- Bon, les Jeux olympiques, en tout cas, saluez partout à l'étranger Brice.
- Vous aviez un coup de gueule que je partage.
- Un gros coup de gueule, j'ai dans ma ville de Gennevilliers, dans le quartier des Agnettes, un jeune de 13 ans, un adolescent qui s'est fait vraiment déchiqueter par un American Staff.
- Donc c'est une sorte de pitbull, vraiment un chien très dangereux.
- Et on oublie très souvent, alors je sais qu'il y a beaucoup de gens qui adorent les animaux de compagnie, je le respecte tout à fait.
- Mais il y a certains animaux qui sont vraiment très dangereux.
- On parle vraiment de chiens là qui sont...
- Oui.
- Qui sont véritablement des armes sur pattes.
- Donc on a un jeune qui s'est fait déchiqueter.
- Je ne sais pas encore dans quel état il est parce que ça s'est passé vendredi.
- Il est parti à l'hôpital.
- Donc j'appelle vraiment.
- Alors c'est un chien...

Transcription générée par IA

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