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Par avec Régis de Castelnau, Erwan Barillot, Noémie Halioua, Virginie Le Guay

Emission du 18 septembre


Au programme, un tour de table de l'actualité avec: Régis de Castelnau, Avocat, Auteur de « Une justice politique » et membre de la rédaction Front Populaire, Erwan Barillot, écrivain et journaliste, Noémie Halioua, Journaliste, essayiste, auteur de La terreur jusque sous nos draps et Virginie Le Guay, Journaliste et éditorialiste politique à France Info TV.
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » « Et nous commençons nos débats dans ce 10h midi comme tous les jours avec Régis. Enfin, Régis de Castelnau n'est pas là tous les jours, mais les débats c'est tous les jours.
- Bonjour Régis, avocat. Votre livre « Une justice politique aux éditions L'Artilleur ». On vous retrouve sur votre blog « Vue du droit » et vous êtes membre de la rédaction de Front Populaire.
- Erwann Barillot, écrivain et journaliste. Bonjour, bienvenue à vous. Noemi Aloua, journaliste et séilliste. Vous avez publié « La terreur jusque sous nos draps » qui est paru chez Plon.
- Et Virginie Le Guet, journaliste, éditorialiste politique à France Info TV. Bonjour à vous, merci d'être là.
- Les impôts, les impôts, les impôts. On n'a plus que ça depuis hier dans les médias. C'est vrai qu'un gouvernement de droite, comme on a qualifié celui de Michel Barnier, on ne s'attendait pas à avoir cette première proposition, ou en tout cas première information.
- Monsieur Barnier, qui est personnalité préférée des Français dans notre baromètre IFOP fiducial pour Sud Radio et Paris Match.
- La composition du gouvernement très, très, très compliquée. Bref, beaucoup de sujets avec vous pour ce 10h midi.
- Alors, on va commencer peut-être avec vous, Erwann, c'est l'actualité.
- Le déconflage de la vasque olympique. C'est un coup de cœur.
- C'est mon coup de cœur du jour, tout à fait, puisque c'est le symbole des Jeux olympiques, cette gigantesque vasque qui était dans le jardin des Tuileries.
- C'est vrai que le président de la République l'avait dit d'ailleurs, on est déjà nostalgique des Jeux.
- Vous savez, samedi, je me promenais dans une fête de quartier dans le 15e arrondissement.
- Et, soit dit en passant, il y a eu une deuxième vasque, la vasque du jardin André Citroën, que vous pouvez toujours admirer.
- Et au pied, justement.
- Au pied, justement, de cette vasque, des jeunes étaient en train de chanter l'hymne olympique.
- Et là, je me suis dit, quand même, c'est un peu tôt pour être nostalgique.
- Mais après tout, il n'y a pas de durée légale de nostalgie.
- Et un mois après, on peut déjà se permettre de l'être.
- Et donc, cette vasque qui est actuellement en train d'être dégonflée, c'est un symbole.
- Et c'est le symbole d'une réussite française, parce qu'il faut encore une fois le redire.
- Et on est d'autant plus nostalgique qu'on ne sait pas quand sera la prochaine réussite française.
- En tout cas, on peut espérer qu'elle vienne assez vite.
- Mais je croyais que vous étiez content qu'on dégonfle le ballon.
- Moi, j'aurais aimé qu'il reste, qu'elle reste, cette vasque au-dessus des tilleries.
- C'était beau.
- Mais le côté éphémère rajoute de la beauté à la chose.
- Je ne sais pas s'il faut tout figer dans le marbre, comme Madame Hidalgo veut le faire pour ses anneaux olympiques.
- Elle ne pourra probablement d'ailleurs pas faire, j'ai compris.
- Ils les ont commandés, déjà, les nouveaux, apparemment.
- Apparemment, ils...

Transcription générée par IA

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