Emission du 26 septembre 2024

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Avec vous sur Sud Radio, on est ensemble avec vous pour les commentaires de l'actualité.
- Oui, avec Sophie de Menton, chef d'entreprise, présidente du mouvement éthique.
- Bonjour Sophie. Bonjour.
- Françoise Laborde. Bonjour Françoise.
- Ravie de vous accueillir, journaliste, ancienne membre du CSA.
- Bonjour Valérie. Bonjour.
- Marc Tessier d'Orfeuil, vous êtes président de l'agence Comme Public.
- Bonjour à vous, bienvenue. Bonjour Valérie.
- Et Arnaud Benedetti, professeur à la Sorbonne, rédacteur en chef de la revue politique et parlementaire.
- Ça va avoir du boulot, hein ? Et vous avez publié, aux portes du pouvoir, RN, l'inéluctable victoire, point d'interrogation, qui est paru chez Michel Laffont et qui est toujours d'actualité, bien évidemment.
- On va revenir évidemment sur le meurtre de Philippine, problème dans la chaîne pénale et administrative, problème autour des OQTF qui sont si nombreuses et qui ont tant de mal à être appuyées.
- Appliqué, le gouvernement Barnier avec le duo ou le duel Retaille-Omigo.
- Bref, beaucoup de sujets avec vous.
- Sur Sud Radio, on va commencer avec vos coups de cœur et vos coups de gueule.
- Sophie, on va commencer avec vous.
- Volontiers.
- Oui.
- Volontiers.
- C'est un coup de gueule.
- Oui, c'est un coup de gueule contre la complexité épouvantable de l'État et surtout dans tous les domaines.
- Je vais vous donner l'exemple des tickets restaurants.
- Les tickets restaurants, a priori, tous nos auditeurs.
- Ils savent ce que c'est.
- On en a dans les entreprises.
- Le montant est décidé par le patron.
- Le salarié paie une partie.
- L'entreprise paie une partie.
- Et alors, à l'origine, c'est un avantage, donc c'est bien.
- Et à l'origine, c'était destiné, comme son nom l'indique, un ticket restaurant à aller au restaurant.
- Alors, il y a les restaurants qui ont accepté les tickets, à qui ça coûte un peu, parce que quand même, ils sont remboursés après, etc.
- Bon, voilà.
- Et puis...
- Il y a eu le Covid.
- Alors, il y a des restaurants qui n'acceptent pas les tickets.
- Très bien.
- Après, il y a eu le Covid.
- Alors là, on s'est dit, ah, c'est plus un ticket restaurant, c'est un ticket pour nourrir les gens.
- Parce qu'après tout, ils travaillent de chez eux et donc, ils ont le droit d'être nourris.
- Ah, bon.
- Alors, on a autorisé le ticket restaurant dans les grandes surfaces.
- Ce qui fait qu'avec votre ticket restaurant, vous pouvez aller vous acheter ce que vous voulez.
- D'ailleurs, des glaces pour les enfants, ça n'a aucune importance.
- Donc, une fois fini, on a décidé qu'on allait laisser perdurer cette possibilité.
- Donc, les restaurants ne sont pas contents du tout parce que c'était quand même à la base quelque chose qui était important pour eux.
- Et en plus de ça, qu'est-ce que l'État...
- Alors, moi, je veux bien...
- C'est l'entreprise qui paie, les salariés.
- En quoi est-ce que l'État décide qu'on fait un chèque pour nourrir les gens et pour les habiller bientôt ? Enfin, c'est incompréhensible et c'est en permanence.
-...

Transcription générée par IA