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Par avec Arnaud Stéphan, Sophie De Menthon, Erwan Barillot, Régis de Castelnau

Emission du 11 octobre 2024


Au programme, un tour de table de l'actualité avec : Arnaud Stéphan, Fondateur de l'agence La Note de com, Sophie De Menthon, chef d'entreprise, présidente du mouvement ETHIC, Erwan Barillot, Ecrivain et journaliste et Régis de Castelnau, Avocat (blog : « Vu du droit »), Auteur de « Une justice politique » (L'artilleur) et membre de la rédaction Front Populaire
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Et nous continuons ce 10h midi avec vous et avec aujourd'hui Arnaud Stéphan, fondateur de l'agence La Note de Com. Bonjour.
- Bonjour. On avait déjà commencé le débat. On était très chaud.
- Sophie de Menton, chef d'entreprise, présidente du mouvement éthique. Erwann Barillot, vous êtes écrivain et vous avez publié « Destin russe » à Paris aux éditions des CIRTE. Et Régis de Castelnau, bonjour. Vous êtes avocat. Bonjour, Valérie.
- On vous retrouve sur votre blogue « Vue du droit ». Vous avez publié une justice politique aux éditions L'Artilleur.
- Et vous êtes membre de la rédaction de Front populaire. Évidemment, on va revenir sur le budget 2025.
- 4 000 postes d'enseignants en moins, des malus pour les voitures thermiques. Bref, on va essayer de détailler quelques-unes de ces mesures.
- On parlera éventuellement aussi de la justice des mineurs.
- Puisque Didier Migaud se dit prêt à réfléchir à l'excuse de minorité. Néanmoins, hier, il a quand même dit qu'il ne fallait pas que les mineurs soient jugés comme les majeurs.
- On va y revenir avec vous. On commence avec vos coups de cœur, vos coups de gueule. Sophie, un coup de cœur, un hommage ? Ah, un coup de cœur, ça fait du bien. J'ai vu à Sainte-Eustache, la messe d'enterrement de Michel Blanc, qu'il y a un des comédiens qui est arrivé avec des émouilles-boutes.
- C'est pas un comédien. C'est un anonyme, en fait. C'est un anonyme.
- Ah, je croyais que c'était un comédien. J'ai trouvé ça merveilleux. Ils ont mis comme chant ce pays merveilleux qui correspond à l'enterrement et à tout à la fin.
- Et j'ai trouvé ça plein d'humour et émouvant, ce matin. Et c'était vraiment bien. Et alors un tout petit coup de gueule, quand même, au passage.
- La maire de Calais, elle a appelé tout le monde. Le préfet, elle a appelé à Paris, les ministères, etc. Elle est maire d'une ville où, effectivement, tous les clandestins traversent.
- Noa part pour rejoindre l'Angleterre. Et elle a dit « Personne n'a voulu appeler les Anglais et faire quelque chose ».
- Et c'est scandaleux, parce que les Anglais ne font rien, nous laissent complètement nous débrouiller, absorbent les gens quand ils arrivent et on sait pas ce qui s'y passe, parce qu'ils sont plutôt chez nous qu'avant d'arriver. Et donc je trouve ça, encore une fois, un véritable dysfonctionnement.
- Et je voulais dire à la maire de Calais que j'appuyais sa démarche et que c'était très bien qu'elle le dise.
- Oui.
- Déjà, Michel Blanc, moi, j'ai été très touchée aussi par l'hommage qui lui a été rendu par le public, qui était très très nombreux hier.
- C'était un comédien très très apprécié, malgré sa discrétion, j'ai envie de dire. Il était peut-être moins spectaculaire que les autres du splendide.
- On n'aurait jamais pensé ça.
- Mais je trouve un peu dommage de le réduire au bronzé, même si c'est ce qui a marqué sa carrière.
- Oh,...

Transcription générée par IA

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