Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » « Et on est ensemble pour commenter l'actualité. On a déjà commencé avec Alexandra Spiner, enseignante, déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France.
- Bonjour. Arnaud Stéphan, fondateur de l'agence La Note de Com. Bonjour Arnaud. Yves Damécourt, viticulteur, ancienne élue locale.
- Bonjour et ravi de vous accueillir. La récolte cette année ? « C'est moyen, ça va être bon, mais c'est tout petit. Beaucoup de pluie. » Romain Marcilli, directeur général de Nouvelle Énergie. Bonjour à vous.
- On va évidemment revenir sur la mort de Yaya Sinoir hier, un tournant dans la guerre et des images impressionnantes et un succès pour Israël, il faut bien le dire.
- Macron recadre les journalistes et les ministres hier, voilà, pourquoi pas.
- Et puis l'immigration, on n'a finalement pas réussi trop à en parler hier parce qu'on a continué sur d'autres sujets.
- On va commencer avec vos coups de cœur et vos coups de gueule. On commence peut-être avec vous, Alexandra.
- Vous êtes militante, c'est la militante qui reprend son bâton de maréchal.
- Je crois que nous sommes nombreux à être militants parce que moi, mon coup de gueule, c'est la décision totalement arbitraire de la maire de Paris de réduire la vitesse sur le périphérique, une décision sous couvert de protection de l'environnement et de réduction du bruit.
- En réalité, c'est totalement idéologique. Depuis un peu plus de deux semaines, la vitesse a été malheureusement réduite et limitée.
- Vous avez toujours les mêmes embouteillages. Rien n'a absolument changé.
- Vous avez chaque jour plus d'un million de véhicules qui empruntent.
- Ces voies qui quadrillent le périph' et on s'aperçoit que les seuls qui sont en réalité pénalisés par cette décision sont ceux qui travaillent la nuit.
- C'est-à-dire la France du périphérique, la France que cette gauche méprise, la France que cette gauche prétend défendre et qu'elle accable en permanence.
- Ce sont des gens qui travaillent la nuit, qui n'ont d'autres choix de rouler la nuit et qui se retrouvent pénalisés.
- Donc nous, à la région, avec Valérie Pécresse, on a mis une proposition.
- Sur la table, on propose de financer à hauteur de 50% la pause d'enrobés phoniques, ce qui concrètement permettrait de réduire le bruit de 7 décibels.
- Et 7 décibels, croyez-moi que ça fait une sacrée différence.
- La principale raison, c'est vraiment le bruit. C'est quoi ? C'est évidemment une raison idéologique.
- D'ailleurs, Béliard ne s'en est pas caché.
- Il a expliqué très concrètement, très détendu, qu'en réalité, ça n'avait aucune conséquence.
- Sur la qualité de l'air, c'est donc réellement une posture idéologique.
- Donc nous, avec Valérie Pécresse, on est plutôt dans une politique pragmatique qui change concrètement la vie des gens.
- On propose... Oui, oui, c'est pas mal quand même de faire de la politique qui change la vie des gens.
- Je vous le vois sourire, mais...
- On a une proposition concrète.
- J'ai une autre question concrète.
- On propose de financer ces pauses d'enrobés...
Transcription générée par IA