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Par avec Virginie Le Guay, Pascal Bataille, Christine Bouillot, Jérôme Dubus

Émission du 31 octobre 2024


Au programme, un tour de table de l'actualité avec : Virginie Le Guay, Journaliste et éditorialiste politique à France Info TV, Pascal Bataille, animateur, producteur, chef d'entreprise, Christine Bouillot, Journaliste Sud Radio, correspondante à Toulouse et Jérôme Dubus, Membre du pôle idées d'Horizons
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Mettons-nous d'accord aujourd'hui avec Virginie Legay, journaliste, éditorialiste politique à France Info TV. Bonjour, Virginie.
- Bonjour, Valérie. Pascal Bataille, animateur, producteur, chef d'entreprise. Bonjour.
- Bonjour, Valérie. Bonjour à tous. Christine Bouillaud est avec nous. Christine, qui est journaliste à Sud Radio, que vous connaissez bien, correspondante à Toulouse.
- Bonjour, Christine. Bonjour, Valérie. Et Jérôme Dubus. Vous êtes membre du Pôle idée chez Horizon. Bonjour.
- Bonjour à vous. Rendre la France moins attractive, Bruno Retailleau a-t-il les moyens de ses ambitions ? En tout cas, hier, quelques OQTF qui ont été renvoyés en Albanie.
- Faut-il supprimer le SNU ? En tout cas, il va être supprimé. Il coûte cher. Il n'est pas efficace. Il avait été lancé il y a 5 ans par...
- Emmanuel Macron, la niche parlementaire du RN. Et puis des lits. J'ai vu cette information ce matin. 4 900 lits d'hôpitaux supprimés en 2023.
- Quand on dit des lits d'hôpitaux, c'est parce qu'il n'y a pas les soignants derrière. C'est parce qu'il n'y a pas les infirmières. C'est parce qu'il n'y a pas les médecins suffisants pour soigner.
- C'est un véritable scandale. Ou en tout cas, c'est assez choquant. Coup de cœur, coup de gueule avec vous. On va commencer avec vous, Christine Bouillaud, peut-être.
- Oui, on vous entend bien. Je revenais effectivement, et je voulais revenir avec vous sur ma journée d'hier à Cahors, dans le Lot, où effectivement, on a vécu un début de semaine assez compliqué concernant l'attaque, on peut parler de ça comme ça, d'un commissariat et aussi de l'hôpital, puisque ça fait partie du périple de la soirée agitée, avec ce constat amer que font les forces de l'ordre sur place.
- Et aussi le bilan que fait aussi la préfecture, c'est-à-dire qu'en fait, il y avait la volonté, à la suite de cette crise, qui est visiblement une histoire de jalousie amoureuse, et donc qui tourne au règlement avec des couteaux.
- Ça devient maintenant une triste réalité, banalité. Mais derrière, on veut se faire vengeance soi-même, c'est-à-dire qu'on n'hésite plus à prendre d'assaut un commissariat, qu'on soit 5, 10 ou 15, peu importe le nombre.
- Inévitablement, de rentrer dans le commissariat, ne pas s'en prendre forcément aux forces de l'ordre, mais d'aller récupérer les deux auteurs pour se faire justice soi-même, d'aller voir même du côté de l'hôpital si on ne peut pas non plus les récupérer pour régler ses comptes.
- Et ça interpelle beaucoup, j'ai passé ma journée au commissariat de Cahors et à discuter avec les forces de l'ordre, ça interpelle beaucoup sur cette non-barrière qu'il y a aujourd'hui par rapport à l'autorité.
- Alors là, la conséquence, tout est rentré dans le calme aujourd'hui à Cahors, il va y avoir des procédures en comparution.
- Il y a des renforts policiers qui ont été envoyés sur place aussi pour assurer que tout le monde ait ramené le calme.
- Il y a la fête foraine, donc les vacances se déroulent...

Transcription générée par IA

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