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Par avec Alex Darmon, Frédéric Dabi, Eric Revel, Frédéric Fougerat

Émission du 3 novembre 2024


Au programme, un tour de table de l'actualité avec : Alex Darmon, journaliste politique, chaine Youtube Les Indécis, Frédéric Dabi, Directeur général de l'IFOP, Eric Revel, Journaliste - éditorialiste Sud Radio et Frédéric Fougerat, Président de Tenkan Paris
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio, le 10h midi. Mettez-vous d'accord, Benjamin Gleize.
- Eh oui, mettez-vous d'accord avec l'ensemble de nos débatteurs du jour, que je remercie. Oui, je les remercie d'être avec nous.
- Alex Darmon, tout d'abord, journaliste politique, chaîne YouTube Les Indécis, tous les vendredis, aussi dans La Vérité en Face, avec Eric Tegner.
- L'émission de Patrick Roger. Bonjour, Alex Darmon. Bonjour, Frédéric Dhabi.
- Bonjour, Benjamin. Et merci d'être avec nous, directeur général de l'IFOP. Votre ouvrage « Parlons-nous tous la même langue » aux éditions de l'Aube.
- Eric Revelle, bonjour. Bonjour, Benjamin.
- Journaliste, éditorialiste Sud Radio, on vous retrouve les lundis, mardis, mercredis matin aux alentours de 7h25 dans la matinale de Jean-Jacques Bourdin.
- Et puis Frédéric Fougera, bonjour. Bonjour, Benjamin.
- Et merci d'être avec nous, président de Tenkan Paris, auteur d'anthologie de la com. C'est aux éditions Bréal Sudirama.
- On a beaucoup de sujets à évoquer ce matin. On va commencer tout de même avec...
- Comme c'est la coutume, avec vos coups de cœur et vos coups de gueule. On commence... Allez, tenez par un coup de cœur, celui d'Eric.
- Eric Revelle, on va parler raquettes. Oui, c'est un coup de cœur léger, parce que là, on n'est pas dans le courage de cette jeune Iranienne dont on parlera tout à l'heure.
- Mais oui, un coup de cœur... Ça fait longtemps que je suis le tennis. J'ai un peu joué.
- Vous en faites, toujours ? Non, j'en fais plus, non. J'en fais plus, maintenant.
- Mais oui, un coup de cœur pour Hugo Imbert, qui a été en finale à Bercy contre Zverev.
- Alors il n'a pas pesé lourd. 6-2, 6-2. Bon, il a été balayé. Mais alors ce que j'aime bien...
- D'abord, on cherche depuis longtemps un leader au tennis français, depuis les retraites de Tsonga et des autres.
- Gasquet, c'est bon. Gasquet, absolument. Et alors ce que je trouve sympathique chez Hugo Imbert, c'est ce qu'il a dit à plusieurs reprises.
- Il a dit en fait « Pour me motiver, je me parle à moi-même. Il y a quelqu'un d'autre dans ma tête. Et en fait, même sur le cours, je m'encourage moi-même.
- » Et ça, c'est quand même la marque des champions. Maintenant, il a un jeu de service volé avec un service puissant. C'est pas quelqu'un qui gagnera Roland-Garros, je vous le dis tout de suite.
- Il tape à plat. Il tape fort. C'est pas le style roi. Mais je voulais le souligner, parce que ça faisait, je sais plus, 2000... Combien ? 2009. 2011. 2011, qu'on appelle un français en finale. Donc voilà, il a enflammé Bercy, qui pour l'occasion, d'ailleurs, tenait son dernier tournoi à Bercy, puisqu'après, ça va se jouer à la défense, à l'aréna. Bon, voilà. Je voulais...
- On va avoir une petite pensée pour lui. Alors quand on voit les deux champions à l'armée du trophée, on voit quand même une différence de gabarit, d'attitude entre Zverev, l'Allemand.
- Il est Allemand, hein. Tout à fait. Et Imbert. Bon, voilà. Un...

Transcription générée par IA

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