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Par avec Rafik Smati, Baptiste Fournier, Jean Pierre Denis, Matthieu Hocque

Émission du 14 novembre 2024


Au programme, un tour de table de l'actualité avec : Rafik Smati, chef d’entreprise, Président du mouvement Objectif France, Baptiste Fournier, Président et Fondateur de l’agence de communication VIRTUS, Jean Pierre Denis, Journaliste, écrivain, chroniqueur à La Croix et Matthieu Hocque, secrétaire général du Millénaire
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Mettons-nous d'accord. En tout cas, on va essayer de se mettre d'accord autour de Raphix Maty. Bonjour.
- Bonjour, Valérie. Chef d'entreprise, président du mouvement Objectif France.
- Et vous avez publié le nouveau temps « Comment reprendre le contrôle à l'ère de l'IA ». C'est paru aux éditions Erol.
- Baptiste Fournier, président et fondateur de l'agence de communication Virtu. Bonjour.
- Bonjour. Jean-Pierre Denis, journaliste, écrivain, chroniqueur à La Croix. Bonjour à vous.
- Bonjour. Et Mathieu Hocq, secrétaire général du Millénaire. Bonjour à vous.
- Bonjour. Et on va revenir... L'actualité, c'est les réquisitions du procureur hier.
- Marine Le Pen risque 5 ans d'inéligibilité, 2 ans de prison ferme. Le RN dénonce une justice politique.
- On va revenir sur une interview de Valérie Pécresse hier qui veut un projet pédagogique pour montrer des caricatures dans les lycées.
- Mais sans représenter Mahomet. Et Antoine Armand, qui était ce matin chez Jean-Jacques Bourdin, qui veut réduire les normes qui empêchent les Français de travailler davantage. Ça va vous plaire peut-être, Raphix Maty.
- On va commencer avec vos coups de cœur, vos coups de gueule. Jean-Pierre Denis, on commence avec vous, puisque c'est également dans l'actualité Notre-Dame de Paris qui va réouvrir ses portes le 7 décembre prochain.
- Ah oui. Alors effectivement, Notre-Dame... C'est pas mon coup de cœur. Je pensais que vous vouliez m'interroger sur mon... Non, c'est pas votre coup de cœur.
- ...coup de cœur qui a un petit rapport avec ça. Oui, il y a un petit rapport.
- On critique beaucoup Emmanuel Macron. On peut quand même dire que là, il a tenu son engagement. Je vais vous avouer que moi, j'y croyais pas trop.
- Et je pense que j'étais pas le seul à avoir des doutes, à manquer un petit peu de foi pour cette échéance de 5 ans pour un chantier aussi énorme.
- Ça a été très bien réalisé. Et ça s'est bien passé aussi, quoi qu'on en dise, entre les pouvoirs publics et l'Église catholique.
- Oui. Bien sûr, il y a eu des tensions. Il y a eu encore un petit...
- ...bras de fer autour de la prise de parole d'Emmanuel Macron. Et je trouve que la solution qui a été retenue, d'ailleurs, est très bonne.
- Elle est très sage. Elle est républicaine. Elle est conforme à la loi de séparation de l'Église et de l'État.
- Le président de la République va s'exprimer devant Notre-Dame et pas dedans. Eh oui, dedans, la loi interdit les discours politiques.
- Et le président de la République, c'est quand même un peu un homme politique, surtout qu'on peut s'attendre à ce qu'il fasse un discours...
- Politique. ...aussi assez politique. Et c'est un lieu de culte. Mais derrière ça, il y a quand même...
- Oui. ...il y aura toujours...
- ...toujours un bras de fer entre l'Église catholique qui veut utiliser ce lieu pour sa vocation, c'est-à-dire un lieu de culte, et de pèlerinage.
- C'est-à-dire que c'est aussi un lieu où on passe pour aller...

Transcription générée par IA

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