Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Avec vous sur Sud Radio, on continue avec les débats et le commentaire de l'actualité avec Frédéric Dhabi qui est là ce matin, directeur général de l'IFOP et vous avez publié Parlons-nous tous la même langue qui paraît aux éditions de l'Aube et vous êtes là avec votre co-auteur, bonjour Brice Socol, vous êtes politologue, essayiste, vous avez également participé à ce livre tout à fait intéressant, Comment les imaginaires transforment la France, où vous abordez en plusieurs chapitres les écarts qui peuvent se faire ressentir entre cette France dite sur les régions et sur la différence, je ne trouve pas mes mots ce matin, avec la métropole, absolument.
- Et Dieu sait si on en parle ce matin avec les agriculteurs.
- Patrick Vignia, l'ancien député européen.
- Rennaissance de l'héros, bonjour.
- Et Mehdi Raïs, porte-parole de Génération Libre, Parlons-nous tous la même langue, la France est-elle fracturée ? On a cette notion d'archipélisation, c'est bien dit, de la France qu'évoquait également un de vos collègues.
- Mon collègue Jean.
- Absolument.
- On va parler du Mercosur et de bien d'autres sujets avec vous également, Jordan Bardella.
- Et on commence avec vos coups de cœur et vos coups de gueule.
- Alors Mehdi, c'est un coup de gueule.
- Un coup de gueule sur l'opposition qu'on fait entre la France du rugby et la France du foot.
- Alors, je m'inscris en faux contre ça, je trouve que c'est une idée qui est totalement reçue.
- J'aime d'ailleurs pas du tout cette idée.
- Il faut reprendre ce qui est devenu le foot aujourd'hui dans la société française.
- Quand par exemple, on regarde le foot qui a totalement quitté Canal+, et Canal+, qui a totalement investi dans le rugby, on voit bien qu'il y a un jeu qui est fait à ce niveau-là.
- J'ajouterais que lorsqu'on regarde les audiences qui ont été, notamment sur le France-Nouvelle-Zélande, on parle de 7 millions de personnes qui ont regardé le rugby, un peu moins de 5 millions, je crois que c'est 4,5 pour France-Israël.
- Non, 5,1.
- 5,1, voilà.
- Et un peu moins, je crois que ça doit être dans les mêmes eaux pour le France-Italie.
- Mais en fait, c'est oublié complètement ce qu'est devenu le football.
- D'une, on s'ennuie devant l'équipe de France, il faut le dire.
- Il y a un effet d'usage.
- On est usé de voir cette équipe.
- Il y a aussi cette espèce de situation qu'on a avec Didier Deschamps, où on s'ennuie littéralement.
- Et puis, lorsqu'on voit aussi l'équipe de France de rugby, par exemple, moi j'étais au Stade de France samedi, il y a aussi toute une...
- En fait, ce n'est pas juste un show, ce n'est pas juste un match de rugby.
- Lorsqu'on voit, par exemple, l'avant-show, c'est-à-dire les hymnes nationals, il y a quelque chose qui est vécu.
- D'ailleurs, il y a toute une histoire à raconter sur les hymnes nationals.
- Et en fait, le sport est devenu un divertissement, en plus d'être un...
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